Dévergondage d'une jeune fille de bonne famille (3)
Datte: 01/01/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Erika Sauw, Source: Xstory
Dès le lendemain, je m’attelai à la réalisation de ma mission : me faire déflorer par Bruno. Mise au pied du mur, je compris combien était grande ma désaffection pour lui, car j’envisageai un moment de faire appel à un autre garçon qui aurait l’avantage d’être plus expérimenté. J’étais certaine de pouvoir recruter un camarade de classe ou l’un des dragueurs qui m’avait accrochée dans les couloirs de l’université et que j’arriverais à retrouver sans grande difficulté. Mon charme me permettait d’attirer les coureurs de jupons, et Michel qui avait pu me contempler nue, m’avait confirmé que j’étais séduisante.
Mais quel scandale je causerais si j’en faisais venir chez moi ! Ma mère m’assaillirait de questions au sujet de mon instabilité sentimentale. Pour elle, voir sa fille changer si rapidement de garçon, ce serait comme perdre la perspective de trouver un gendre. Aller chez ce garçon où je serais sans doute plus à l’aise pour effectuer mes ébats sexuels ne serait guère plus facile, puisque je devais justifier mes sorties.
Une idée me vint : acquérir la complicité de Mélanie. Michel ayant l’intention de la transformer en une « chienne en chaleur » et de lui faire partager mes expériences, je pouvais la conduire dès maintenant sur le chemin du vice. J’invitai donc Bruno à venir un après-midi où mon père était au travail, où ma mère était en ville, mais où ma sœur restait à la maison. Peu avant l’heure qui avait été fixée, je me rendis dans sa chambre pour l’informer de ...
... mes intentions. Elle était assise en tailleur sur son lit, en short comme moi, son smartphone à la main.
— Bruno va venir tout à l’heure, annonçai-je en m’asseyant à côté d’elle.
— Ah oui ? fit-elle sans lever les yeux de son écran.
— Mais cette fois, j’ai l’intention de mettre de l’ambiance dans la maison.
— Comment ça ?
— Je vais me déshabiller avant de l’accueillir.
Mélanie leva vers moi des yeux écarquillés, puis un afflux de sang se produisit sur ses joues.
— Fais comme tu veux, murmura-t-elle.
— Tu ne diras rien à papa et maman ?
— Non.
Elle baissa les yeux sur son smartphone comme pour mettre un terme à notre conversation, mais je savais que j’avais déclenché un tourbillon de pensées dans son esprit.
— Dans notre famille, on ne parle que des études, repris-je. Il faut bien sûr se préoccuper de l’avenir, mais si on continue comme ça, on va se retrouver célibataires à trente ans.
— Tu as Bruno, me rappela Mélanie.
— Mais nous n’avons toujours pas fait l’amour. J’ai décidé de commencer aujourd’hui. Puisque je ne peux pas le faire sans que tu ne t’en aperçoives, je te mets au courant.
— Très bien. Je ne le dirai pas.
— Mais ça ne veut pas dire que je vais devenir la fiancée de Bruno, précisai-je. Au troisième rendez-vous, je commençais déjà à m’ennuyer et je crois que maman ne l’aime pas beaucoup. Ça fait un point sur lequel on est d’accord. Pour le reste, j’ai l’intention de me passer de son avis.
— Qu’est-ce que ça veut ...