1. Dévergondage d'une jeune fille de bonne famille (3)


    Datte: 01/01/2020, Catégories: Erotique, Auteur: Erika Sauw, Source: Xstory

    ... je prenais possession de son pénis à travers son bermuda et que j’essayais de le faire durcir. Je ne craignais pas de laisser des traces de sperme ou de cyprine sur le canapé, car elles pouvaient être facilement nettoyées. Mes parents ne devineraient jamais ce que nous étions en train de faire et ne sauraient même pas que Bruno était passé.
    
    Mon copain se lâcha. Il bascula vers Mélanie pour lui pétrir les seins, dont les pointes s’étaient durcies, et je vis sur le visage de celle-ci le plaisir qu’elle ressentait. En une seule après-midi, elle avait basculé dans l’univers de la jouissance charnelle. Les mains de Bruno descendirent sur les flancs de ma sœur et s’arrêtèrent un moment, hésitant devant le seuil de la transgression : faire une intrusion dans son intimité inexplorée. Elle était encore cachée comme un bijou dans son écrin, car les cuisses de Mélanie étaient modérément écartées.
    
    J’intervins à ce moment pour le faire rasseoir entre nous, je lui enlevai son tee-shirt, puis, agenouillée devant lui, je lui ouvris son bermuda en faisant jaillir son membre raidi. En dénudant son gland, je découvris une humidité qui m’étonna. Je ne savais pas que les hommes pouvaient mouiller autant que les femmes, mais je jugeai que c’était une bonne chose.
    
    J’entamai une fellation où j’appliquai ce que Michel m’avait appris.
    
    — Oh putain ! s’exclama-t-il. C’est trop bon !
    
    Pourtant, je ne fis guère entrer que le gland dans ma bouche. C’était surtout ma main droite qui ...
    ... maintenait la pression sur le pénis de Bruno. J’avais senti un goût d’urine quand j’y avais déposé la langue, mais il avait très vite disparu, pour laisser place à celui de ma salive. Je relevai la tête afin de contempler ce gros bout de chair rose et humidifié, avec son orifice allongé.
    
    Mélanie s’était agenouillée à côté de moi, les mains sur une cuisse de Bruno.
    
    — Je peux essayer ? demanda-t-elle.
    
    — Vas-y. Il faut arriver à bien le serrer sans mordre dedans.
    
    Je n’étais pas encore une professionnelle de la fellation, mais contrairement à ma petite sœur, ce n’était pas la première fois que je voyais un sexe d’homme. Elle referma sa main dessus avec autant de bonheur que si elle découvrait un cadeau de Noël.
    
    — Il faut faire un mouvement de va-et-vient, expliquai-je.
    
    Mélanie s’y prit d’abord très lentement, puis elle accéléra sa cadence. Elle était véritablement fascinée par le chibre de Bruno.
    
    — Les filles, vous allez me faire gicler ! protesta-t-il.
    
    — On te chauffe seulement, répondis-je.
    
    Ma sœur se pencha, écarta sa chevelure et entama une première fellation très timide. En la regardant, j’eus conscience qu’elle apprenait à sucer un garçon avant de savoir faire un baiser sur la bouche, mais pour moi, le baiser était irrémédiablement lié à l’amour et je n’avais pas présenté Bruno à Mélanie pour qu’elle s’entiche de lui. Mon objectif était d’effectuer son éducation sexuelle et de lui offrir quelques belles expériences.
    
    — Arrête ! commanda Bruno.
    
    Mélanie ...
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