0204 Un nouveau, incroyable Jérémie.
Datte: 30/12/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... deux mecs qui ont envie de faire plaisir à l’autre, de se faire du bien, parce que le plaisir de l’autre décuple leurs plaisirs respectifs.
Là encore, c’est tellement bon que, très vite, je sens approcher le point de non-retour de ma jouissance.
« Attends Jérém… ».
« Tu aimes ? ».
Qu’est-ce que j’aime cette façon de me demander si j’aime, comme pour se rassurer.
« Oh, que oui… ».
Et le bogoss recommence à me pomper.
Mais qui est donc ce beau garçon déguisé en Jérémie ? C’est qui cet inconnu qui s’est glissé dans sa peau et qui est en train de me faire un truc de dingue, un truc que le Jérém que je connaissais auparavant serait bien incapable de me faire ?
« Je vais pas pouvoir me retenir longtemps… ».
« Moi non plus… ».
« T’as pas fait le con depuis un mois ? » je ne peux m’empêcher de lui demander, tout en continuant à le branler.
« J’ai toujours mis une capote… et… t… » fait-il, tout en continuant à me branler.
« Moi aussi, j’ai toujours mis une capote… » je le devance.
Je me sens rassuré, et j’ai envie de le rassurer à mon tour. J’ai envie d’aller au bout et j’ai envie qu’il aille au bout aussi, puisqu’il en a envie.
Je recommence à le pomper, et le bogoss en fait de même. Très vite, alors que je me sens perdre pied, j’ai l’impression d’être sur le point de partir vers des sommets de jouissance dont jusque-là je n’avais même pas soupçonné l’existence.
« Ah… ça vient… » je le préviens une dernière fois, moins pour le retenir ...
... que pour le prévenir, alors que ma jouissance échappe désormais à mon contrôle.
Lorsque mon orgasme explose, c’est tellement intense que ça en est presque douloureux ; et mon bonheur sensuel va s’envoler encore, pour atteindre des summums vertigineux, lorsque je ressens des giclées bien lourdes, chaudes, denses, nombreuses percuter ma langue, lorsque son jus remplit copieusement ma bouche, lorsque je ressens son goût de jeune mâle se répandre dans mon palais.
C’est une sensation qui me rend raide dingue, ce bonheur indescriptible de sentir qu’un peu de lui vient en moi, la sensation d’être envahi, fécondé par sa virilité, le bonheur de pouvoir goûter au nectar de sa jouissance, ce nectar exquis que j’avale par toutes petites gorgés, le savourant comme la plus précieuse des boissons. Qu’est-ce qu’il est bon ce jus de petit mâle, surtout après en avoir été privé pendant un mois !
Je n’arrive toujours pas à réaliser que Jérém vient de jouir dans ma bouche en même temps que je viens de gicler dans la sienne. Mais alors que je continue de lécher son gland pour capter la moindre trace de son goût de mec, Jérém se penche per dessus le bord du lit, il attrape un t-shirt qui traîne, le porte à la bouche et s’empresse de recracher mon jus.
Lorsque je me résous enfin à lâcher sa queue, Jérém s’allonge sur le lit, les bras pliés, les mains croisées entre sa nuque et l’oreiller, position dévoilant ses aisselles légèrement poilues ; des aisselles dégageant désormais, après ...