1. Enfilage de perles et de mouches


    Datte: 29/12/2019, Catégories: nonéro, Humour perles, revebebe, Auteur: Gromiko, Source: Revebebe

    ... délicatement.
    
    Pour ne pas que ça coagule trop vite ; j’avais pas encore joui.
    
    J’avais remarqué quelques baisses de luminosité, mais le ciel étant encombré de nuages, je me suis laissé dire que c’était normal.
    
    Les gens disent ça, parfois, que le ciel peut être encombré de nuages.
    
    Me repositionnant entre ses cuisses, quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’une personne nous regardait.
    
    J’avais posé une cuisse de chaque côté de la banquette. Elles me gênaient un peu pour manger le reste et je les gardais pour plus tard.
    
    C’était un homme d’une cinquantaine d’années avec un physique sans avantage.
    
    Dommage, car j’avais encore faim.
    
    Que faire ? M’arrêter et démarrer la voiture en trombe ? Le virer et continuer ? Mais après tout il veut nous voir alors je vais lui montrer l’antre de ma femme, où est le mal ?
    
    Hein, Votre Honneur ?
    
    Il est là car le spectacle est beau, personne ne lui a demandé de venir. Nous n’avons provoqué personne, nous voulions être au calme, et puis quel réconfort pour ma femme qui ne pensait plus attirer d’homme, pensais-je.
    
    Elle se savait moche, malgré la piscine. Elle avait quand même eu deux enfants ! Il n’y avait que moi, croyait-elle, pour apprécier… sa beauté intérieure. (Note du greffier : Le prévenu renverse alors sa tête en arrière et éclate d’un rire hystérique.)
    
    Sans révéler à ma femme cette présence in fortuite, je commençais alors à me désaxer afin qu’il puisse voir le spectacle sans encombre.
    
    Bon, d’accord, ...
    ... j’étais déjà un peu désaxé avant.
    
    Ma tête à présent sur le côté de la cuisse, je lui offrais la vue de ma langue s’affairant sur les lèvres verticales.
    
    J’ai essayé quelques figures de style pour le spectateur, plaçant les morceaux du corps de façon artistique.
    
    Je positionnais mes doigts afin d’écarter au maximum son clitoris.
    
    Que j’ai fini par arracher car la carne n’était plus de première jeunesse. Dommage que mes enfants n’étaient pas là ; ça aurait été plus joli avec de la chair fraîche.
    
    Corine, redoublant d’excitation, ouvrait son corps entièrement.
    
    Bon, je l’ai peut-être aidée un peu. Mais elle bougeait encore, la garce.
    
    Je lui pris sa jambe et la positionnai sur le dessus de la banquette. Je repliais l’autre afin d’amener son pied au plus près de son triangle.
    
    J’ai réussi quelques combinaisons très esthétiques. L’important, c’est de bien couper aux articulations. Pour ne pas la faire souffrir inutilement.
    
    Elle était ouverte et coulait comme rarement, maculant la banquette de sa liqueur.
    
    Je pris note d’acheter une bâche en plastique avant de m’occuper des gosses. J’y tiens, moi, à ma bagnole.
    
    Le clitoris devenait de plus en plus dur et les spasmes de plus en plus amples.
    
    Elle a mis des heures à crever pendant que son clito séchait par terre.
    
    Je pensais à cet homme qui devait commencer à se transcender.
    
    Moi, je me surpassais, en tout cas.
    
    Je redescendis une main et commençai à jouer avec son clitoris, ma bouche faisait des ...