1. Enfilage de perles et de mouches


    Datte: 29/12/2019, Catégories: nonéro, Humour perles, revebebe, Auteur: Gromiko, Source: Revebebe

    ... succions délicates sur son ventre.
    
    Pas évident, d’aspirer les boyaux en jouant avec un clitoris par terre d’une main.
    
    Mon doigt descendit afin d’effleurer sa rondelle, toujours en offrant une vue ouverte imprenable à notre spectateur.
    
    Sans les jambes, c’est quand même comme ça qu’on voit mieux. (Mais faudrait que j’essaye les naines.)
    
    Elle était écartée au maximum.
    
    Le mot est faible.
    
    Elle ne se contenait plus.
    
    C’est rien de le dire.
    
    Ses cris étaient profonds.
    
    Surtout quand j’ai enfoncé mon bras entier.
    
    Je plaçais mes mains de part et d’autre de son clitoris et l’écartai encore et encore.
    
    C’est incroyablement élastique, ces petits trucs.
    
    Sa vulve était béante face à cet inconnu.
    
    Quarante centimètres, au bas mot.
    
    Arrivée au summum du plaisir, ma femme jouit avec des cris incontrôlés.
    
    Elle a toujours été maso, la salope !
    
    Quand elle revint à elle, elle ouvrit les yeux et aperçut de notre visiteur…
    
    J’étais pourtant sûr qu’elle avait son compte.
    
    Je fis mine d’être aussi surpris qu’elle et je regardai cet homme avec un regard surpris.
    
    Ben quoi ?
    
    J’insistais avec un regard noir et il s’éloigna rapidement.
    
    Asocial, va !
    
    Cette situation m’avait mis dans un tel état que j’ôtai mon pantalon et mon slip d’un seul geste.
    
    Quand je suis excité comme ça, je contrôle pas ma force.
    
    C’était miraculeux, sa bouche était chaude et douce. J’étais aux anges, moi qui durant toutes ces années de vie commune lui avais sollicité de ...
    ... nombreuses fois de me prendre.
    
    C’est quand même dingue, d’avoir à en arriver là pour qu’elle suce, Votre Honneur. Non ?
    
    J’éjaculais en me tordant de plaisir. J’avais du sperme tout autour de mes cuisses. Nous embrassâmes comme rarement. J’ai aimé cette odeur que peut procurer une bouche qui vient de sucer. Je venais de découvrir le plaisir buccal. Depuis nous avons donné une autre dimension à nos rapports, ma femme commençant à se libérer de tous préjugés.
    
    Et empaillée, elle me fait beaucoup moins chier.
    
    Psychologie :
    
    — Tu vas te mettre à genoux sur l’assise des fauteuils.
    
    Je l’écoutais comme résigné. J’avais joué d’elle la fois dernière et son attitude était tout à fait normale.
    
    Il faudrait lâcher un psychanalyste armé dans les archives de Rêvebébé.
    
    Mais, comme animée d’une vie bien à elle, la balle malicieuse continua de rouler plus loin, le long des légers bombements du ventre d’Azénor, guidée par une main qui semblait avoir gagné sa propre volonté et paraissait avoir décidé toute seule de prendre le chemin de côté…
    
    C’est pas ma faute, docteur. La balle avait une vie bien à elle et elle était guidée par une main qui avait sa propre volonté, c’est-à-dire décidait toute seule. Enfin, c’est ce qu’il m’a semblé paraître être comme.
    
    Ses hanches, mues par une force inconnue, tanguaient et roulaient sans aucun contrôle, ses fesses s’étaient soulevées d’elles-mêmes.
    
    Irresponsable ? Moi ? Puisque je vous dis que c’est pas ma faute ! J’étais à poil ...
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