1. Enfilage de perles et de mouches


    Datte: 29/12/2019, Catégories: nonéro, Humour perles, revebebe, Auteur: Gromiko, Source: Revebebe

    ... dans la cuisine et j’ai glissé…
    
    Tes râles et tes gémissements me feraient atteindre ce moment ultime et si bon où l’on est uni, cet instant où l’on ne fait qu’un, qui dure quelques secondes, mais qui semble une éternité.
    
    Tellement on s’emmerde.
    
    Et bien entendu, l’idée d’être dans un sauna avec plein d’inconnus nus près d’elle ne la laissait pas indifférente.
    
    Bien entendu, ça ne laisse personne indifférent. Pour être précis, elle, ça lui foutait clairement les boules.
    
    Il veut l’embrasser, la couvrir de baisers, tout comme elle le prouve en se mordillant le coin des lèvres.
    
    Elle prouve quoi, exactement ?
    
    Son sexe en bouche, elle fit des va et viens en le serrant bien, comme si elle tétait un biberon.
    
    Déjà toute petite, elle faisait des va-et-vient avec son biberon…
    
    J’appris quelques temps plus tard que j’étais une clitoridienne.
    
    Par une amie de mère. Je me tatouai alors ce mot sur le front et renonçai définitivement à tout autre plaisir.
    
    Sentiments :
    
    Je ne sais ce qu’il se passe mais je suis sexuellement tombé amoureux de cette femme, c’est-à-dire que j’ai envie d’elle, mais je veux être doux et gentil avec ...
    ... elle, aussi je m’assieds comme elle me le demande…
    
    Et je deviens très con.
    
    Je bande de plus en plus et ma queue oscille maintenant selon les battements de mon cœur…
    
    C’est ça, être sexuellement amoureux !
    
    Je nous vois baiser dans le miroir : lui s’agrippant à mes hanches et moi soulevant mon t-shirt pour qu’il puisse mater mes seins, et déjà il jouit en lâchant « T’es bonne ». Il remonte son pantalon, m’embrasse sur la bouche et sort. Je fais pipi et te rejoins. Tu règles l’addition.
    
    Mon amour.
    
    Morale :
    
    La vie est courte, ingrate et difficile.
    
    Surtout quand on est malade, moche et con.
    
    Dernier mot de la fin :
    
    Puis lentement tu te déshabillas,
    
    Par ta chemise, ensuite ton soutif, tu commenças ;
    
    Puis par le bas.
    
    Par le haut, tu commenças ; puis par le bas, tu commenças. Enfin, quand par le milieu tu commenças, c’était fini avant d’avoir commencé…
    
    Voilà. C’est tout.
    
    Merci d’avoir lu jusqu’au bout.
    
    Mon éternelle gratitude à madame Gandhi-Shankar de Saint-Lisier-sous-Purin (qui souhaite conserver l’anonymat), pour ses relectures, ses précieux conseils, ses encouragements et son inestimable influence. 
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