Femmes
Datte: 29/12/2019,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
hbi,
jeunes,
campagne,
amour,
Auteur: Caval, Source: Revebebe
... nous sommes allongés l’un à côté de l’autre pour récupérer : un calme qui ressemblait à l’œil du cyclone après le tumulte et précédant la tempête. Nous nous regardions, le sourire aux lèvres, nos doigts se posaient sur le corps de l’autre. Moi, j’avais les yeux rivés sur sa verge alanguie qui me donnait tant de plaisir. Il n’y avait rien de libidineux dans cet instant, seulement une infinie tendresse. C’est dans ces moments que je ressentais le mieux l’amour que j’avais pour mon compagnon se basant sur trois éléments : l’engagement, l’intimité et la passion.
L’engagement, c’était la volonté chez moi de cultiver les sentiments que j’avais envers mon partenaire ; il avait grandi progressivement et ne cessait de croître.
L’intimité, c’était cette volonté d’être proche l’un de l’autre, une volonté d’être en connexion avec celui qui partageait ma vie et bien plus que mon lit.
La passion se matérialisait dans l’attrait que j’avais pour lui, attirance physique qui entraînait naturellement le désir charnel. Cette passion avait été faussée au début par la présence de Stéphanie dans notre relation ; mais depuis nos retrouvailles, elle s’était stabilisée sans s’éroder sur l’écueil de l’habitude.
J’étais amoureux de Gérard ; en aucun cas il ne s’agissait d’une attirance passagère. Comme Gérard éprouvait les mêmes sentiments que moi, nous pensions que la personne qui nous séparerait n’était pas encore née.
Je venais de poser ma main sur le sexe de Gérard, sans le branler, ...
... lorsque la porte de la chambre s’ouvrit :
— Vous voulez bien m’en donner un peu ?
Effarés, nous vîmes Mireille entrer dans notre chambre, totalement nue, voulant apparemment profiter de deux mâles. Nous restions médusés ; et comme si nous n’avions pas bien compris le message, elle ajouta :
— Avec deux mecs bien montés comme vous, je vais enfin pouvoir réaliser un de mes grands fantasmes : une double pénétration. Je n’ai jamais eu l’occasion d’expérimenter cela autrement qu’avec un gode, et ça me tente énormément.
Gérard me regarda, inquiet. Je me levai, pris par la main la jeune femme au corps exceptionnel et l’entraînai vers la chambre que j’occupais avec elle. Il fallut alors lui expliquer que nous voyions, Gérard de moi, les choses sous un autre angle.
— En étant avec moi, tu es ma copine, ma compagne : pas celle de Gérard. Entre hommes, nous continuons à faire l’amour sans partenaire féminine et sans spectatrice.
— Mais ça ne déplairait pas à Gérard ; il est bi, lui aussi. Cet après-midi, j’ai bien vu qu’il bandait lorsqu’il me regardait topless.
— Mais moi, crois-tu que ça me plairait que tu baises avec mon copain ? Non, Mireille, tu es ma nana, pas celle de Gérard. C’est un deal entre lui et moi, tu dois aussi t’y plier.
Mireille me fit la gueule. Je restai avec elle toute la nuit sans même essayer de la toucher.
Le lendemain matin, elle reprit ses affaires et me demanda de la déposer à la gare la plus proche. Ce que je fis. Je ne la revis plus ...