Femmes
Datte: 29/12/2019,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
hbi,
jeunes,
campagne,
amour,
Auteur: Caval, Source: Revebebe
... m’a demandé :
— Tu regardes ma chatte ? Tu vois comme elle est poilue ? Pour rien au monde je ne la couperais. J’en prends grand soin, elle est toute douce. Viens toucher pour vérifier par toi-même.
Je n’ai pu m’empêcher de venir caresser cette fourrure. Les poils étaient d’une grande douceur, la fille se shampooinant la foufoune avec une lotion spéciale rendant le buisson doux, luisant, et avec de délicieuses fragrances. Je le sais, puisque nous nous sommes retrouvées en 69.
— Tu as eu d’autres amantes que cette fille ?
— Oui : deux autres, pour ce qui est des relations lesbiennes sexuelles. À côté, il y a eu des baisers ou des caresses avec des filles, sans aller plus loin.
— Les relations lesbiennes, c’est une chose. Mais que deux hommes fassent l’amour ne te pose pas de problème ?
— Écoute, Marc, tu baises bien ; je devrais même dire « très bien ». J’ai pu en juger par moi-même. Tu m’as fait jouir plusieurs fois. Il y a bien des hétéros purs et durs qui sont moins brillants que toi. Le plus important pour moi, c’est que sexuellement notre entente soit parfaite. Après, que tu aimes également les hommes ne me pose pas de problème particulier.
— Mais tu sais, je n’arrêterai pas de coucher avec Gérard, même si on se met ensemble toi et moi.
— Là encore, que veux-tu que je dise ? Si tu baisais avec une autre nana, je pense que là je ne serais pas d’accord. Encore que…
— Encore que ?
— Un de mes fantasmes, c’est qu’avec mon mec, on fasse un plan à trois avec une ...
... de mes copines, juste pour le fun, juste une fois pour s’éclater. Non, non ! Oublie ! Enfin, que tu baises avec un mec qui, en plus, est ton copain – donc un amant attitré et non pas une rencontre sans lendemain avec tous les risques que ça comporte – je trouve ça acceptable. Je préfère, en fin de compte. C’est un bon deal.
Je lui fis donc rencontrer Gérard. La soirée que nous passâmes ensemble fut excellente. J’avais à mes côtés une femme pour qui j’éprouvais de l’amour (enfin, une femme pour qui je pouvais éprouver de l’amour, car je n’étais pas encore certain de mes sentiments à ce moment-là) et l’homme que j’aimais.
Lorsque je me suis retrouvé seul avec Mireille, elle s’offrit à moi de façon magnifique, sans retenue. Elle aimait que je prenne possession de son corps, que ce soit ses seins amples et fermes aux larges aréoles, ou bien son sexe à la chatte finement duvetée de poils pubiens mais aux contours des lèvres glabres, apparaissant ainsi encore plus impudique lorsqu’elle ouvrait voluptueusement les jambes, laissant admirer les moindres détails de sa vulve. Je visitais ses chairs de ma bouche, de ma langue, de mes doigts et de mon sexe. Lorsque mon membre fléchissait un peu après plusieurs assauts, elle venait à son secours avec ses mains et sa bouche, donnant des coups de langue bien ajustés sur le gland ou encore en le plaçant entre ses beaux nichons entre lesquels elle le branlait délicieusement.
Je la fis jouir à plusieurs reprises durant cette nuit. Je ...