Arrivée au port. Le matin
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
fh,
copains,
Oral
pénétratio,
Auteur: Bart, Source: Revebebe
... des doigts, comme il avait si souvent dit qu’il aimait la voir faire. Ses petites pointes roses devinrent dures au milieu de ses larges et tendres aréoles. Elle cambra son adorable cul et en ondulant, prit son temps pour ôter son short qui rejoignit le débardeur sur le sol. Simplement vêtue d’un mini-slip noir, elle s’allongea sur le lit et s’appuya contre les oreillers. Après avoir joué avec ses seins érigés, elle bomba sa poitrine pour qu’il puisse voir combien elle s’offrait à lui et fit descendre une main sur son ventre duveteux, jusqu’au doux renflement de son pubis.
Lentement, ses doigts firent des allers et retours le long de sa fente, dont les contours se dessinaient de plus en plus nettement au fur et à mesure que le tissu s’imbibait de sa féminité. Puis, le regard toujours provoquant, les jambes suffisamment écartées pour dévoiler sans trop montrer, elle déplaça légèrement le dernier rempart d’une bienséance qui n’était plus de mise. Elle inséra ses doigts en dessous, vers une fine toison soyeuse et des lèvres gonflées de désir.
Quand elle fut sûre que Paul était au paroxysme de l’excitation, elle souleva ses hanches et leva ses jambes fuselées à la verticale. De ses deux mains, elle fit glisser l’ultime obstacle à sa complète nudité, découvrant le fruit convoité encadré par deux magnifiques globes clairs. Son slip rejoignit ses autres vêtements. Entièrement nue, elle s’exhiba avec impudeur à la vue de Paul.
Accompagnés de mouvements sensuels du bassin, ses ...
... doigts se firent plus audacieux sur son sexe. Son index et son majeur écartèrent ses corolles humides dans de lentes circonvolutions, laissant apparaître par instant l’entrée de son petit cul légèrement violine et son délicieux bouton rose, brillant de cyprine. Le souffle court, les yeux mi-clos, elle observait malgré tout Paul qui visiblement n’en pouvait plus. Elle voulait pourtant le mener encore plus loin.
– Regarde-moi comme je te désire, mon Paul. Maintenant, déshabille-toi. Je veux te voir. Montre-moi que toi aussi, tu as envie de moi.
Paul, que le jeu de Marie avait mis dans tous ses états, accéda à sa demande avec fébrilité. Rapidement, il fut aussi nu qu’elle, prit dans sa main sa verge turgescente et commença une lente masturbation. Au bout de quelques instants de ces plaisirs solitaires et pourtant partagés par le regard, Marie, maîtresse de leur récréation, l’invita à venir sur elle, les délivrant tous deux de cette attente douloureuse.
Il arriva entre ses jambes, sa bouche remplaça les doigts de Marie, qui enfin put s’abandonner à d’autres caresses que les siennes. Quand il entendit que ses gémissements augmentaient, il remonta le long de son ventre, lentement, très lentement comme pour se venger de l’attente qu’elle lui avait fait subir. Il atteignit ses seins qu’il enveloppa de ses paumes, sa langue traçant un sillon humide sur le pourtour de ses aréoles du plus tendre des roses, ses lèvres suçant et jouant avec les pointes dressées.
Leurs baisers ...