Arrivée au port. Le matin
Datte: 23/03/2018,
Catégories:
fh,
copains,
Oral
pénétratio,
Auteur: Bart, Source: Revebebe
... se mêlèrent de nouveau, encore plus fiévreux et plus impatients. Marie investit de ses mains le large dos de Paul, palpa sa peau souple qui roula sous ses doigts, puis alla à la rencontre de sa verge pour la saisir et se caresser autrement. Il accompagna son mouvement, complice de son plaisir. Complètement inondée et n’y tenant plus, elle introduisit le sexe de son amant dans son antre, en murmurant à demi consciente :
— Baise-moi, mon Paul, j’en ai trop envie, baise-moi maintenant !
Ces quelques paroles accrurent encore l’excitation de Paul qui lui répondit et obtempéra. Il fit pénétrer son long membre jusqu’à la garde en une fois. Marie, surprise, en prit un plaisir infini qui provoqua l’augmentation de ses râles. Il fit en sorte de donner le maximum d’amplitude à ses mouvements pour que les sensations soient les plus fortes. Il savait qu’elle adorait le sentir sur le point de s’échapper, mais qu’au final cela ne se fit pas. Il accéléra sa cadence, ralentit, repartit, joua de leurs impressions imbriquées, invita Marie à nouer ses jambes sur son dos pour augmenter sa jouissance… Leurs halètements ponctués de paroles comprises d’eux seuls devinrent des cris qui les amenèrent ensemble à une explosion de tous leurs sens, le corps moite et le souffle court.
Longtemps, ils restèrent enlacés, le sommeil les surprit un peu, puis ils se séparèrent enfin, pleins des senteurs de l’autre.
Oo–oOo–oO
Pendant ce temps, je parcourais à bonne allure, avec Sophie, Apolline et ...
... Jean, les quelques centaines de mètres qui nous séparaient du port.
Je marchai à côté de Jean, les deux filles devant nous, évidemment en pleine conversation. Nous n’aurions pas été là, c’eût été pareil. Néanmoins, je n’étais pas mécontent d’être derrière elles, car j’en profitais pour porter mon regard sur les croupes ondulantes des deux petites nanas. Chacune de leurs moitiés jouait avec l’autre, les deux paires parfaitement synchronisées formaient une chorégraphie à la fois sensuelle et quelquefois nerveuse, quand la topographie de la route la perturbait. À ce moment-là, leurs hanches se touchaient subrepticement, puis reprenaient leur mambo de connivence. Le pli horizontal, souligné par liséré du short moulant qui marquait la frontière entre leurs jambes dorées et leurs rondeurs, s’amusait aussi de l’alternance en soulevant légèrement leurs demi-culs et les faisant tressauter.
Je connaissais le cul de Sophie, mais celui d’Apolline me paraissait aussi des plus appétissants. Je repensai alors aux paroles de ma belle qui m’avait confié à demi-mot que je ne laissais pas sa copine indifférente. Je me pris à fantasmer sur une expérience à trois, comme celles que j’avais eu l’occasion de lire dans certains romans.
Et pendant tout le trajet, Jean aussi n’arrêtait pas. À travers mes pensées, quelques-uns de ses mots me parvinrent, lointains. Je saisis qu’il se confondait en excuses, qu’il dit ne pas avoir su pour Chloé et moi, que je ne devais pas m’en faire, que c’était ...