1. Arrivée au port. Le matin


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fh, copains, Oral pénétratio, Auteur: Bart, Source: Revebebe

    ... n’a peut-être pas complètement tort, suggéra Apolline avec un clin d’œil.
    
    – Pas encore partis ? s’enquit Paul, qui venait d’arriver avec Marie.
    
    – On attend Marc, dit Jean. Ah, le voilà ! Eh bien, il t’en a fallu du temps pour prendre ta douche !
    
    Jean regarda sans comprendre les deux chipies en train de pouffer dans leur coin.
    
    – Il doit être un peu coquet, osa Sophie.
    
    – Ou alors, il se fait beau pour nous plaire, minauda Apolline.
    
    – C’est bon ? On y va ? dit Marc sans faire de commentaires.
    
    – On t’attendait, figure-toi, notifia Apolline.
    
    – OK… Donc vous restez là ? demanda Marc en s’adressant à Paul et Marie.
    
    – Oui, répondit Marie. On a envie de prendre notre temps. Et comme ça, Paul et moi, on vous prépare un petit truc à manger pour ce midi, quand vous reviendrez.
    
    – Bon, eh bien, à tout à l’heure, alors !
    
    Oo–oOo–oO
    
    – Tu avais envie d’aller au port avec eux ? demanda Marie en rentrant dans la villa.
    
    – Non, je préfère qu’on prenne un peu de temps ensemble. C’était plutôt speed ces dernières semaines, dit-il en lui entourant les épaules.
    
    Elle se serra contre lui.
    
    — Oui, c’est vrai qu’on n’en a pas eu beaucoup pour nous depuis un moment.
    
    – Maintenant que nous sommes seuls, je pense que quelques instants de douceur caressante ne nous feraient pas de mal, d’autant plus qu’on n’aura sans doute plus d’occasions de tout le week-end.
    
    Marie s’accrocha autour du cou de Paul, et lui fit un petit baiser.
    
    – Mais on ne devait pas ...
    ... préparer à manger ? murmura-t-elle en lui tendant ses lèvres.
    
    – Ah oui… C’est vrai… Tu as raison. Tant pis, il faut qu’on s’y mette…
    
    – Noooon, salaud. Tu sais parfaitement de quoi j’ai envie, câlina-t-elle.
    
    – Non, je cherche, mais je ne vois pas, fit-il joueur.
    
    – Je voudrais que tu me caresses et que tu me baises, émit Marie dans un souffle, en l’embrassant dans le cou.
    
    – Tiens donc. Ça te prend comme ça ?
    
    – Je te rappelle que ce matin je suis un peu restée sur ma faim. Tu étais un peu atteint de molassonite, il me semble.
    
    – C’est peut-être, parce que tu n’avais pas su m’exciter assez, répondit-il
    
    – Ah, je n’ai pas su t’exciter ! Attends, si c’est un défi, tu vas voir ! Viens par ici, répliqua-t-elle.
    
    Elle attrapa Paul par la main et l’entraîna dans l’escalier vers la chambre du premier, encore pleine de leurs désordres de la nuit. Une fois entrés dans la pièce :
    
    – Tu restes là et tu me regardes, dit Marie péremptoire, en le poussant contre le mur.
    
    Elle monta sur le lit, se mit en face de lui, croisa ses bras sur ses hanches pour remonter son débardeur et le faire passer par-dessus sa tête. Sa poitrine jaillit, ronde et arrogante, absolument adorable. À travers les persiennes entrouvertes, un rayon de soleil fendit la pénombre pour se poser sur son buste et la saillie de ses tétons, ce qui la rendit extraordinairement désirable. Elle en avait parfaitement conscience.
    
    Tout en fixant Paul dans les yeux, elle se caressa doucement les seins du bout ...
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