Dérapage incontrôlé
Datte: 27/12/2019,
Catégories:
fh,
2couples,
parking,
boitenuit,
Oral
préservati,
pénétratio,
hsodo,
échange,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... mais aussi probablement de la salive de ma pute de femme qui a dû le sucer avant que nous n’arrivions. Mais une bite libre, sans capote et c’est ce mandrin de chair non protégé qui plonge dans la chatte de la femelle.
Pas de capote ! Mais comment peut-il ne pas se protéger, ne pas la protéger ? À moins que ? Non, ce serait trop terrible ! À moins qu’ils ne seconnaissent depuis assez longtemps pour avoir confiance. Serait-ce possible qu’ils soient amants ? Oui, mais depuis quand ? Ma femme l’aurait-elle contacté après son passage et son offre d’échangisme ? Ou avant ! Mais comment ?
Il l’enfile. Sa queue semble sans fin. Rose me regarde. Sourire aux lèvres dans un défi maintenant permanent, mais pincement des yeux lorsque le mandrin entre, entre.
— Putain ce que tu es étroite. Une chatte de pucelle.
Marc ne se prive pas d’ajouter une touche supplémentaire. Mais se tournant vers moi il ajoute :
— Ah une première main. Rien de vaut une première main. N’est-ce pas Louis ?
Et il la bourre. Une main sur les hanches, une main qui a saisi les cheveux de ma femme la forçant à se cambrer sous ses assauts, il entre et sort sans retenue. Son mandrin paraît de plus en plus gros, de plus en plus dur, trouvant seul le chemin du vagin pour le pistonner, se propulser à des profondeurs inconnues, uniquement retenu par le pubis de l’homme qui heurte les fesses de la femme. Le sourire est moins prononcé. Elle a bien du mal à ne pas grimacer. À chaque fois que l’homme la ...
... pénètre, elle souffle, gémit, gronde.
— Ne reste pas comme un idiot. Occupe-toi de Lise. Elle n’est plus de première main, mais elle a été bienrodée et c’est une vraie salope. Tu n’as eu qu’un aperçu dans la forêt.
Je reste paralysé. C’est trop fort, trop violent. Mais Lise ne reste pas inactive. La remarque de son amant n’a pas l’air de l’avoir choquée. Si je ne vais pas à elle, elle vient à moi. La première chose qu’elle fait, c’est d’ouvrir ma braguette pour en extraire ma verge.
— Eh ben, mon salaud, tu ne pourras pas dire que ça ne t’excite pas.
Je suis son regard. Je bande. Ma bite me paraît énorme, gonflée, longue comme jamais je ne l’ai vue.
Je ne peux pas ! Je ne dois pas ! Je ne suis pas de ces maris qui bandent uniquement lorsque leur femme se fait baiser par un autre. Au contraire, je veux ma femme rien que pour moi. Ma propriété, ma chose, mon bijou, ma perle. Comment en suis-je arrivé là ? Je dois rêver. Je vais me réveiller.
Mais non. Pas de réveil salvateur. Au contraire, le va-et-vient de l’homme m’hypnotise. Les secousses que le lit transmet me bercent.
— J’ai une meilleure idée. Va te faire sucer par ta femme. C’est votre première fois et il faut que tu participes à son plaisir.
Lise me pousse. Je rampe sur le lit. Déjà ma pute de femme ouvre la bouche avec toujours ce sourire. Sourire vicieux, pervers que je ne lui connais, pas même dans ces moments où mon fantasme nous guide vers des jouissances exacerbées.
— Ensuite tu viendras après ...