Dérapage incontrôlé
Datte: 27/12/2019,
Catégories:
fh,
2couples,
parking,
boitenuit,
Oral
préservati,
pénétratio,
hsodo,
échange,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... réponse à la remarque de Marc.
Quelques minutes passent où je dois répondre à des questions sur notre duplex, nos enfants, etc. Et puis on entend :
— Marc, vous voulez bien monter un instant, s’il vous plaît ?
C’est Rose. On l’entend, mais on ne la voit pas.
Marc me questionne du regard. Je fais un « je ne sais pas » d’un geste et je lui fais signe de monter. Il s’exécute.
Je me retrouve seul avec Lise. Elle vient s’asseoir plus près de moi.
— Je suis désolée pour tout à l’heure.
— C’est ma faute aussi.
— Tu regrettes ?
— Non, pas vraiment…
— Mais avec ta femme ?
— Ça va se tasser. J’ai une botte secrète.
— Oh, quel genre ?
— Excuse-moi de ne pas te le dire. Je lui en garde la primauté.
— Oh, alors !
Quelques secondes où, sans nous concerter, nous regardons vers la mezzanine.
— Qu’est-ce qu’elle pouvait bien lui vouloir ? je demande.
Le sourire de Lise est manifeste.
— Moi j’ai bien une idée !
Son ton et son sourire me confortent dans mon inquiétude.
— Non… Elle ne l’aurait pas fait monter pour… impossible. Alors que nous attendons !
— Elle avait l’air en colère et pourtant elle semblait calmée en arrivant ici. Tu ne trouves pas ça bizarre ?
— C’est vrai. C’est comme si elle avait pris une décision.
Quelques secondes et je dis :
— Je monte voir.
— Je t’accompagne.
Je rêve ! Ce n’est pas possible ! Je vais me réveiller ! Ils n’ont même pas fermé la porte de la chambre. Malgré la lumière diffuse des lampes de chevet, on ...
... ne peut pas ne pas les voir. Lui, allongé. Elle, sur lui, cavalière sans étrier qui pourtant ne risque pas de tomber. Il ne leur a pas fallu longtemps pour être déjà au trot. La salope monte et descend sur le mandrin de l’homme.
— Ah, mon chéri, te voilà… Entre donc… Tu verras mieux !
Ce sont autant ses paroles que le visage de ma femme qui sidèrent. Elle me provoque et affiche tous les symptômes du plaisir. Même les soupirs qui ponctuent chaque mot, petits essoufflements de la femelle qui se baise, sont des poignards.
— Mais… Rose… Que fais-tu… Pourquoi ?
Humiliation totale. Jamais je n’aurais pensé avoir à poser ce genre de questions. D’ailleurs, je n’aurais pas dûdemander pourquoi, mais exiger qu’elle cesse avant même de questionner.
— Qu’est-ce que je fais ? Mais tu vois bien mon chéri. Je baise avec Marc. Et c’est bon… bon… Pourquoi ? Tu n’as pas une petite idée ? Non ? Lise… Le bois ?
— Mais…
— Si tu veux baiser avec Lise, ne te prive pas !
Je suis sidéré. Elle m’oublie. Les deux mains posées sur le torse de l’homme, elle donne de grands coups de hanches pour s’enrouler autour de la bite. Marc, de son côté, se propulse à son devant. Les chairs claquent. Soudain l’homme se redresse. Tout en puissance, je le vois soulever sa partenaire, la pousser sur le lit, la faire mettre à quatre pattes et se placer pour la prendre ainsi. Le temps d’une seconde, je vois sa bite dressée, maintenue horizontale par l’érection, une bite luisante des liqueurs vaginales, ...