Le garçon qui ne voulait pas grandir
Datte: 26/12/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... érotique qui l’avait bien excité, elle me donnait à boire de sa mouille qu’elle faisait gicler d’elle avec l’aide un gros godemiché, sans aucun contact physique entre nous.
À la fin de la journée, j’enfilais mon plug anal et je me pelotonnais, tout nu, contre Charlotte, ma grosse ourse en peluche – presque aussi haute que moi – pour l’étreindre et lui murmurer à l’oreille mes chagrins secrets, mes fantasmes les plus obscurs, et des mots d’amour obscènes réservés à mon doudou préféré. Parfois, je l’habillais avec des sous-vêtements que Maman me prêtait, afin de les lui retirer comme un amant passionné, et chaque mois, je lui mettais un tampon usagé que ma mère me fournissait, afin qu’elle ait ses règles comme toutes les autres oursonnes nubiles de son âge. C’était possible, car elle possédait, caché sous son épais pelage, un trou entre les pattes arrière. Je pouvais ainsi la pénétrer comme une épouse et juter dans le kapok, sous l’œil attendri de ma mère, qui ne perdait jamais rien de ces étranges accouplements, voire me filmait avec son caméscope. Comme je suis hétérosexuel, ma mère avait cousu des seins à Charlotte que je pouvais peloter à loisir, et elle était douée pour la couture, parce qu’ils ressemblaient à des vrais, et non pas ceux des plantigrades, mais ceux de l’espèce humaine.
Plus tard, j’ai su qu’un petit dictaphone se trouvait dissimulé à mon insu à l’intérieur de Charlotte, afin d’enregistrer ce que je disais à ma fidèle compagne. Ma mère notait tout ...
... sur des fiches classées par thème. Pour elle, le jouet, c’était tout simplement son fils unique. Une fois soulagé dans le vagin en peluche, j’enfilais mon obligatoire cage pénienne, puis finissais souvent par m’endormir, blotti contre Charlotte, le pouce dans la bouche, ou bien une tétine que Maman me donnait. Elle venait tendrement recouvrir notre sommeil d’une couverture. Parfois, elle s’asseyait sur le bord de mon lit pour me raconter une histoire comme les Onze mille verges de Guillaume Apollinaire, ou bien Mademoiselle de Mustelle et ses amies de Pierre du Bourdel, en y mettant le ton dans les passages les plus obscènes de ces chefs d’œuvres de la littérature érotique française.
Une fois, j’ai surpris Charlotte en train de forniquer avec Maman, sur le canapé. Elles ont fait ça la nuit, les coquines, pendant qu’elles croyaient que je dormais ; mais ma cage pénienne me faisait tellement souffrir que je ne pouvais pas fermer l’œil. Charlotte était affublée d’un gode-ceinture et enculait ma mère qui la tenait à pleines mains pour se l’envoyer frénétiquement dans le derrière, couchée sur le dos, les jambes relevées et les yeux révulsés sous l’effet de la volupté que lui procurait le fouillement anal. Cette coquine de Charlotte souriait, comme à son habitude, et elle aussi semblait prendre son pied. J’étais choqué d’une telle infidélité. Je crois que ma mère se sentait penaude comme une épouse adultère surprise en plein ébat, sauf que l’amant était un ours en peluche et le ...