1. Je me fais défoncer par mon oncle (21)


    Datte: 25/12/2019, Catégories: Divers, Auteur: tomflavie, Source: Xstory

    ... m’absoudre de ma faute.
    
    Un peu paniquée, je déballai tout. Mon obsession pour le sexe, ma vie de débauche avec mon frère, mes pensées impures presque vingt-quatre heures sur vingt-quatre, tout. M. le curé, celui-là même qui nous avait mariés m’écouta patiemment en finissant par me dire qu’avec la foi, tout se réglerait pour le mieux.
    
    Il ne me donnait pas de pénitence, me disant que j’étais déjà assez éprouvée pour le moment, mais que si je retrouvais le droit chemin, mon âme guérirait avec le temps.
    
    Puis maman s’adressa à papa :
    
    — Émile, peut-être veux-tu informer Sandrine de ton parcours de vie avant de me connaître ?
    
    — Il n’y a pas grand-chose à dire. Devenu orphelin très jeune, j’ai été élevé chez les religieuses et très tôt, j’ai eu la vocation. Je voulais servir Dieu.
    
    J’ai fait des études en théologie et je suis devenu prêtre à l’âge de 25 ans. Je suis arrivé ici à cet âge et j’y ai commencé mon service il y a 34 ans. Pendant mes 9 premières années ici, ma vie a été des plus pieuses. J’avais fait vœu de chasteté et je vivais très bien avec cette décision.
    
    Rien ne m’empêchait toutefois de poser le regard sur une jolie femme, mais toujours sans arrière-pensée. J’étais respecté par mes paroissiens et j’étais de bon conseil pour les âmes en perdition.
    
    J’ai célébré beaucoup de mariages et baptisé un nombre considérable d’enfants issus de ces unions.
    
    Mais... ma vie a basculé quand Marie a perdu son époux dans cet horrible accident, ce fatidique jour ...
    ... d’octobre.
    
    Les événements qui suivirent, ce regrettable décès, changèrent ma vie à tout jamais.
    
    Marie vint se confesser durant la semaine suivant la perte de son mari, espérant trouver la paix. Elle m’avoua se savoir coupable. Elle me raconta alors les plus choses incroyables qu’il m’ait été donné d’entendre.
    
    Mon esprit s’embrouilla. Je ne savais plus quoi penser ni quoi dire. J’étais réduit au silence. En un mot, j’étais profondément troublé. Les choses qu’elle m’avait dites ne quittaient pas mon esprit et une impulsion étrange qui m’était jusqu’alors inconnue me força à demander encore plus de détails.
    
    Et elle, en toute innocence, me raconta tout, même ce qui se produisit avec son frère le jour de son mariage. J’étais en sueur et ma queue était tellement bandée que j’en avais mal.
    
    Quand elle eut terminé sa confession, je lui bredouillai quelque chose ayant rapport avec la foi et le droit chemin et elle quitta satisfaite, il me semble. Je n’avais plus connaissance de ce que je disais ou de ce qui se passait.
    
    J’étais abasourdi. Ma queue me faisait mal et je la sortis entre deux boutons ma soutane, malgré le fait qu’un autre paroissien entrait dans le confessionnal laissé vacant par Marie.
    
    J’empoignai ce morceau de chair de bonne taille. Je m’étais déjà masturbé étant plus jeune comme tous les adolescents, mais depuis que j’étais prêtre, jamais ça n’était arrivé et je n’en avais jamais ressenti le besoin de toute façon.
    
    Comme hypnotisé, je regardai mon ...