Je me fais défoncer par mon oncle (21)
Datte: 25/12/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: tomflavie, Source: Xstory
— À l’enterrement de son mari ? On saute du mariage à l’enterrement ? Ne s’est-il rien passé entre les deux événements ?
Papa éclata de rire en entendant mon ton faussement outré. Maman reprit la parole :
— Tu as raison, c’est un peu rapide comme raccourci. Je vais te donner les grandes lignes...
Une fois mariés, Pierre et moi filions le parfait bonheur, comme c’est le cas pour la plupart des jeunes gens dans la vingtaine.
À cause de son éducation stricte, il avait insisté pour qu’on ne fasse pas l’amour avant le mariage, ce à quoi j’avais donné mon accord un peu à contrecœur, mais je me disais qu’on aurait tout le temps de reprendre le temps perdu une fois mariés. De toute façon, je pouvais me faire défoncer quand je le voulais par mon gentil frère et je ne m’en privai pas. Je suçais sa grosse bite presque tous les jours et il me défonçait à chaque fois.
Dans mon esprit tordu, ce n’était pas de l’adultère, mais quelque chose de normal. Quand on est salope comme je l’étais à l’époque, on a une drôle de façon de voir les choses.
Mais une fois mariée, mon tempérament de chienne prit le contrôle de mon esprit et Pierre en reçut plus qu’il n’en avait demandé côté sexe. Je devins absolument insatiable, une nymphomane à la puissance 10!
En plus de me faire limer les trous presque quotidiennement par mon frère, je m’amusais avec des godes à la maison, et quand Pierre rentrait de son travail, je me précipitais à ses pieds pour sortir sa queue et la sucer avant ...
... qu’il ait pu me dire bonjour. J’avais besoin de ma dose de foutre !
Après l’avoir bien pompé et avoir avalé ce qu’il y avait à avaler, je préparais le dîner, ayant des saloperies plein la tête et en regardant les concombres avec envie...
Ma chatte était mouillée pratiquement en permanence. Je n’avais que le cul en tête. Toujours. Jamais je ne pensais à autre chose. Me faire sauter et défoncer, sucer, avaler du foutre ; voilà ce qui occupait mes pensées toute la journée.
Pierre ne se plaignait pas d’avoir une petite femme chaude. Mais baiser ou faire l’amour ne me suffisait pas, il fallait qu’il me défonce littéralement, quatre ou cinq fois pendant la soirée, et ce, sept jours par semaine. C’est sans compter les fois où je le réveillais la nuit en le suçant. Ça use son homme, autant mentalement que physiquement. On a beau être au milieu de la vingtaine et être fringant, il arrive un moment où on frappe un mur, tant au figuré qu’au propre.
Après un mois et demi de ce régime, Pierre était totalement épuisé. Parfois, je lui laissais une soirée libre et j’allais me faire défoncer chez Jacques quand sa femme n’était pas là.
Pierre allait au lit le soir, de plus en plus tôt. Je restais au salon à me goder la chatte et le cul en regardant des films pornos. J’enviais ces filles qui se faisaient défoncer les trous pendant de longues minutes, et qui finissaient par se faire éjaculer sur le visage ou encore mieux, dans leurs bouches de putes.
Quand j’allais au lit à mon ...