Je me fais défoncer par mon oncle (21)
Datte: 25/12/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: tomflavie, Source: Xstory
... tour, j’étais excitée au maximum et tout ce que je voulais, c’était de sucer une bite. Parfois, je ne réveillais même pas Pierre. Je réussissais à le faire bander pendant qu’il dormait. Je jouais avec sa queue, je la suçais je la branlais, mais il n’éjaculait pas, ce qui me décevait un peu.
Je m’empalais sur sa bite jusqu’à ce que je jouisse sans qu’il ne se réveille. Ensuite, je m’endormais environ une heure et alors là, je le réveillais et il me défonçait. C’était comme ça trois ou quatre fois par nuit, parfois cinq fois. J’étais vraiment accro. Une véritable chienne. Pierre était vraiment épuisé, mais il ne se plaignait jamais et il me fourrait comme la dernière des putes, comme je le demandais.
Comme je n’avais pas de boulot, je pouvais dormir plus tard le matin pendant que Pierre allait au travail et je restais à la maison pour m’occuper de l’entretien et à préparer de bons petits plats pour mon homme. Mais dès que j’avais quelques minutes de répit, je me godais comme une enragée.
Ensuite, Pierre rentrait du travail et le cirque repartait de plus belle.
Jusqu’à ce lundi d’octobre où je reçus la visite de deux policiers me disant que Pierre avait eu un accident. Sa voiture s’était encastrée dans un mur de béton et il était décédé sur le coup.
L’enquête a révélé qu’il s’était endormi au volant. Il n’avait eu aucune chance... par ma faute. Je m’en voulais tellement que j’en étais malade.
La semaine précédente, Pierre et moi avions discuté de mon « ...
... accoutumance un peu excessive » au sexe et comment il se sentait face à ce fardeau, car c’était devenu à ce point dur physiquement, que c’était un fardeau pour lui. Il m’aimait énormément, mais ne sentait plus de taille pour continuer à suivre la cadence de mon « appétit ».
Nous avions avancé l’idée que si je tombais enceinte et que je menais à terme une grossesse en donnant naissance à un gentil poupon, ça m’occuperait l’esprit de dorloter l’enfant, et comme ça, notre vie deviendrait peut-être un peu plus normale.
Comme j’adorais Pierre et que je voulais tout faire pour le rendre heureux, j’avais convenu que c’était ce qu’il fallait faire.
L’idée m’emballait. J’allais devenir maman ! J’en parlai à mes parents, avec mon frère Jacques et sa femme et avec les quelques amies que j’avais à l’époque. Tout le monde était content pour nous.
Je décidai de laisser à Pierre une semaine de répit avant de commencer à faire ce qu’il fallait pour que je tombe enceinte. Jusqu’ici, il n’avait jamais éjaculé en moi, j’étais trop gourmande et j’avalais méthodiquement chaque goutte de foutre que je provoquais.
Ensuite arriva l’accident. J’étais dévastée. Ma famille et mes amis me supportaient, mais je n’arrivais pas à m’enlever de l’esprit que c’était ma faute. Je n’avais plus le goût de rien, même pas de sexe. J’étais désespérée et déprimée.
En désespoir de cause, j’allai à l’église pour me confesser, espérant le salut de mon âme si je me confiais à la seule personne qui pourrait ...