1. La pute et son bedeau


    Datte: 21/12/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... dessous qu'il avait changé à mon égard. J'étais vêtue ces jours-là de
    
    façon plus osée . Mon mari qui s'en aperçut me jetant : « Tu veux te
    
    taper le petit ? » Par cruauté je parlais avec celui-ci du couple qu'il
    
    formait avec mon amie. Je lui disais que je trouvais formidable qu'ils
    
    se fussent trouvés et parussent comme un défi face à la veulerie de ce
    
    monde. Je lui confirmais qu'on médisait trop sur eux. J'ajoutais : « Le
    
    bonheur fait toujours des envieux. » Je n'osais cependant lui demander
    
    quant à leur harmonie au lit.
    
    En même temps je le savais abreuvé de vidéos plus hard sur moi.
    
    Notamment une où je passais de mains en mains entre quelques nègres.
    
    Cela s'était réalisé dans un garage peu loin, il y a un mois. Il
    
    reluquait à présent sans vergogne mes jambes, mes cuisses et sûrement
    
    mes fesses lorsque je me baissais assez longtemps devant lui. A cet
    
    effet un jour décidais-je de me délester de la culotte. Je n'eus de
    
    cesse alors de croiser et décroiser les cuisses. Avec ses clignements
    
    d’yeux, il faisait pitié à voir. Je triomphais. Dans l'échange de nos
    
    propos il languissait à présent. J'étais obligée de relancer.
    
    Il me tardait à porter le coup final. Une fois encore je recourus à un
    
    autre amant qui vint lui aussi à sortir devant lui tandis qu'il
    
    lanternait sur le même bord du trottoir. C'était un grand black dans le
    
    genre le plus vulgaire. J’escomptais bien de cravacher sa jalousie
    
    ainsi. Il ne pourrait ...
    ... s'empêcher de m’imaginer sous les assauts de ce
    
    mâle. Contraste entre ma peau blanche et celle de ce noir, ce gorille.
    
    Je faisais appel à ses plus bas instincts et à ce complexe d'infériorité
    
    sexuel accréditant qu'une queue de black supplante tout. Je vis en effet
    
    une lueur de rage dans ses yeux. Je triomphais.
    
    J'étais vêtue cette fois-là. J’avais conservé mes bas-résille et mes
    
    escarpins à talons hauts. Grimée, fardée je devais ressembler à un
    
    clown. Je n’avais de cesse de bailler. Manifestement la séance d'avant
    
    m'avait fatigué. N'y tenant plus mon bedeau s'emporta : « Je ne sais ce
    
    que vous avez mais vous n'y êtes pas. Est-ce à cause de ce monsieur que
    
    j'ai vu sortir tout à l'heure ? Sans doute une de vos connaissances où
    
    un cousin de la belle famille ? Je goûtais la morsure et la cruauté de
    
    son propos. Le petit marquis recherchait la bagarre. Enfin il sortit de
    
    ses gongs en rejetant son masque.
    
    Pour toute réponse et le fixant droit dans les yeux, je vins à ce moment
    
    à écarter mes cuisses, geste théâtral et des plus ostensibles. Je lui
    
    offris le spectacle cru d'une chatte lisse car épilée. Il ne l'avait
    
    jamais pu observer avec tant de menus détails bien qu'il l'eût vu
    
    sûrement dans quelques-unes de mes vidéos. Il marqua un moment d'arrêt
    
    comme saisi, foudroyé. Il ne trouva pas le moyen de se reprendre. Il
    
    était malheureux de cette défaillance. Je le tenais en flagrant délit
    
    mon Tartufe. Impitoyable je lui jetais alors : ...
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