1. La pute et son bedeau


    Datte: 21/12/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... chevelure
    
    encore en broussaille et une jupe et des bas un peu chiffonnés. Devant
    
    lui je tachais de me remaquiller. Je balançais même un ignoble mensonge.
    
    J'arguais qu'un cousin de mon mari était venu m'apporter des nouvelles
    
    de la belle famille. C'était un très brave jeune homme. Il était au
    
    chômage et s'était résolu à s'établir outre-manche pour tenter sa
    
    chance. Il était patent que je mentais.
    
    Je choisis à dessein le chef d’œuvre de Billy Wilder : Assurance sur la
    
    mort où notamment sévissait une vamp, Barbara Stanwyck. Nous n'en
    
    débattîmes pas moins de l'histoire, de sa morale, de la justesse de la
    
    mise en scène. Je le vis embarrassé quant à l’héroïne. Je lui demandais
    
    justement sur celle-ci : « Tu penses que c'est une femme perdue et
    
    qu'elle a mérité son sort ? » Il protesta qu'on ne devait condamner
    
    quiconque. Il ne m'en dit pas moins qu'il pensait qu'elle n'était point
    
    une femme heureuse. Il ajouta qu’elle avait choisi de s'enrichir par
    
    tout moyen et c'était dépit et succédané.
    
    Il put dire tout autant que le sexe et la débauche était d'aussi pauvres
    
    et débiles expédients. Je me rappelle que je croisais haut mes cuisses
    
    durant cette conversation imprimant un balancement frénétique à un
    
    escarpin au bout d'un pied. Je l’avais pu faire dans le film Je trouvais
    
    troublant et provoquant de le lui infliger dans la réalité. Je gagnais
    
    et en fus un peu étonné qu'il fixa bientôt ce pied, cet escarpin. On
    
    l'eût ...
    ... cru ensorcelé tel le Naja par la musique. J'en venais à découvrir
    
    peu à peu un autre homme. On eût dit que tout son vernis craquelait.
    
    J'étais comme devant un mystère.
    
    Je me souviens aussi que j'avais disposé deux, trois DVD de film X sur
    
    la table basse près de la télévision. J’affectais de les avoir oubliés
    
    dans la précipitation. Il ne pouvait pas ne les avoir vu. Cela augurait
    
    de ce que j'avais pu faire avec le supposé cousin. J'escomptais bien que
    
    toutes ses fâcheuses impressions s’imprimassent dans son esprit et
    
    qu'outre de me redécouvrir sous mon vrai jour, il réalisa et mesura tout
    
    son échec quant à mon édification. Peut-on réformer une putain ? Pute un
    
    jour, pute toujours. Il ne voyait surtout qu'il était plus en danger que
    
    moi dans cette circonstance.
    
    Outre d'échanger par SMS, nous nous adressions aussi des emails pour nos
    
    débats intellectuels. J'usais aussi de ce canal pour lui adresser
    
    anonymement des MMS, petites vidéos, d’image glauque et de mauvaise
    
    qualité où il était facile de me reconnaître nue ou en petite tenue
    
    entrain d’effectuer des passes peu innocentes. Ainsi me vit-il sucer un
    
    homme puis être besognée en levrette. Il y avait toujours une légende
    
    accompagnant les films. Je laissais accroire qu'on voulait me calomnier
    
    et en même temps le décourager de s'investir davantage avec moi, une
    
    catin qui ne le méritait pas.
    
    Bien sur il ne dit goutte de ces choses mais je vis bien par ses regards
    
    en ...
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