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La pute et son bedeau
Datte: 21/12/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... d'enrichir à mon tour mon vocabulaire. Il s'autorisât à me proposer une liste de livres. Je dus me prêter au jeu d'autant que la copine poussait. Celle-ci outre de me convaincre que son bonhomme était un type extra et désintéressé, elle voulait secrètement me réformer et me transformer en bas-bleu. Aujourd'hui on parle à cet égard de dé-radicaliser ou insérer certains. On espérait transformer la garce initiale que j'étais en sainte. Rien de tel pour me réduire à fomenter les plus pires complots. Je n’attendis pas un an pour fourbir mon embuscade. Le stratagème était simple. Mon cher imbécile s'était peu à peu enhardi jusqu'à venir me voir seul avec ses bouquins sous le bras. Nous en discutions en regardant de vieux films. En effet nous avions même passion pour les vieux classiques de la MGM ou de la RKO. Boudant au départ, je me déridais à mesure. Il est vrai je tombais sous le charme de mon étrange garçon. Ces premières fois j'en oubliais mon pouvoir de séduction sur les hommes. Je respectais voire craignait celui-ci. Certains prêtres ou êtres innocents vous suscitent une crainte sacrée. Je buvais ses paroles. Je convenais qu’elles avaient un sens profond et spirituel ouvrant des perspectives dans ma vie. J'encourrais d'être convertie et qu'il me fit honte un jour de ma vie passée. Quelle catastrophe ! Je crus devoir m'en ouvrir à une autre amie laquelle éclatât de rire. Elle me dit : « Fais gaffe tu tombes ...
... amoureuse. Tu vas vouloir te marier avec lui et lui faire accroire que tu es vierge. » Ces quolibets achevèrent de me réveiller. En effet je glissais inéluctablement sur une mauvaise pente envoûté par le charme de ce prince charmant. Il me fallait me réveiller et réagir. Je ne mettais en doute la sincérité de son prosélytisme mais j’estimais qu'il se mentait à lui-même autant qu'à moi. La réalité et la vérité de ce monde ce n'était pas cela. Je devais à mon tour lui donner la leçon. Je fis cela en deux étapes. Il faut savoir que je n'avais pas renoncé à toutes mes saloperies. Une foule d'amants se pressait pour moi. Ils étaient de tout âge, origine ou condition. Mon mari était fort complaisant à cela. De toute façon il folâtrait autant de son côté. J’avais droit à cet égard de faire cela sous le toit en son absence. Il était juste convenu que je lui adressas pour le prévenir ce sobre SMS : « Suis consultée entre telle et telle heure ; » Lui préférait baiser à l'hôtel ou chez une de ses amantes. Pour mon mignon curé dans la mesure où c'était sage, je me dispensais du fameux SMS. Ainsi eurent-ils souvent à se croiser dans le salon tandis que nous parlions devant un film. Je percevais le mépris du mari. Il haussait les épaules. Un jour n'y tenant plus il me jeta : « Je ne sais pas ce que tu trouves à ce nigaud, à ce pédant. Tu aurais mieux fait de baiser avec et de le jeter. » Je trouvais que l'idée n'était point ...