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La pute et son bedeau
Datte: 21/12/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... mauvaise. Je devrais un jour ou l'autre me débarrasser de mon éphèbe. Ledit éphèbe ayant trente ans de moins que moi. J'eus pu être sa mère. Ce fut comme un déclic. Je décidais un jour de commencer à l'attaquer. Je vins à le recevoir vêtue de façon plus osée. Finis la robe longue, les collants et chaussons de mémé dans lesquels je le recevais comme pour lui témoigner ma mauvaise volonté de vouloir le séduire et d'exprimer ma féminité profonde, expression de ma personnalité. Faisant en sorte la grève. Ajoutez à cela que je m’affublais d'un affreux chignon et ne me maquillais pas. Il ne s'en offusquât guère. Même il dut prendre cela pour une preuve que j'entrais dans ses vues. Que l'instruction, le savoir m'importaient plus que les jeux anciens de ma coquetterie. Je me résignais à mon âge, à mes rides. Il me ramenait au droit chemin. Point besoin de vous dire qu'un tel malentendu m'exaspérait. Il me brûlait de le lui dire et d'avouer qu'une heure durant j'avais été lutinée par un chauffeur routier dans son véhicule et que cela s'était effectué peu loin d'une école presqu'au su de tous. Je l’avais sucé abondamment. Il m'avait avec sa Bonne queue, enculé au final. C'était là le banal et le quotidien de mes turpitudes. Il n'était pas rare que deux amants pussent avoir l'honneur de mes faveurs dans une seule journée. J’étais insatiable. Les heures studieuses que je concédais au bedeau n'étant qu'un mince ...
... répit dans cet océan de boue. Bref la première estocade se passât ainsi. Je fis en sorte une heure avant l'un de nos rendez-vous, d'inviter un amant pour que celui-ci put me sauter dans le lit conjugal. J'adorais profaner. Un SMS avait à cet égard prévenu mon mari. Je fis en sorte que cet amant du jour put croiser notre bedeau. J'en voyais fébrilement à ce dernier un SMS pour lui dire de ne pas entrer de suite dans le pavillon. Que je ferais signe pour cela. Je le vis sur le bord du trottoir inondé de soleil. Il attendait le visage souriant et benêt. J'escomptais bien qu'il put bien voir cet homme qui sortirait de chez moi. Ils se dévisagèrent. Je pense que le bedeau prit assez de temps pour réaliser que cet homme avait un genre mauvais. Qu'il n'était pas venu pour discuter avec moi d'Heidegger. J'affectais en le saluant de paraître gênée et sujet à une certaine culpabilité de ce que j'avais pu faire avant. Comme les dernières fois j'arborais une jupe des plus courtes avec le port de bas. J'avais cru devoir marquer ainsi le début de mon émancipation voire de ma rébellion. Il en parut, je me souviens assez chagrin d'autant que je me maquillais à nouveau. Je tempérais souvent cela en prétextant une proche sortie. Ce jour-là il se représenta que j’avais paru de la sorte devant le voyou qu'il avait vu sortir. Son imagination je l'espérais pourrait lui laisser deviner tout le reste d'autant que j’avais un peu la ...