1. Blasons - 2


    Datte: 20/12/2019, Catégories: cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, poésie, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... grand foyer incandescent
    
    Comme le soleil va, dans le ciel descendant.
    
    Oui tout est des mêmes teintes de l’automne,
    
    Doux et violent comme le chat qui ronronne :
    
    Les aisselles duveteuses au goût salé,
    
    Les divins et beaux poils tout aussi mordorés
    
    Entre les deux jambes qui doivent s’écarter
    
    Pour laisser admirer une belle forêt.
    
    De couper tout cela, serait pire méfait,
    
    Car la beauté est dans la couleur de ces poils,
    
    Qui c’est vrai, pour l’heure, rien ne dévoilent,
    
    Mais qui laissent présager de divins trésors
    
    Encore bien plus précieux qu’un calice en or.
    
    Rien, aucun poil, aucun cheveu,
    
    Et pourtant très belle en ces lieux.
    
    Ainsi tout est découvert chez elle ;
    
    Une femme presque irréelle.
    
    Elle est pourtant si sensuelle
    
    À la fois amante et femelle.
    
    Elle se dévoile volontiers
    
    Car elle veut à tous montrer,
    
    Qu’elle existe et qu’elle vit,
    
    Cela malgré la maladie.
    
    Là ce corps nu et découvert
    
    Il faut sans faute qu’on le serre,
    
    Ainsi l’aimer et le chérir,
    
    Et faire la vie rejaillir.
    
    Pauvre être devenant débile.
    
    Un corps devenu pré-nubile.
    
    Seins à la plage
    
    Petits seins nus sur la plage
    
    Offerts aux rayons du soleil ;
    
    Ne restant jamais bien sages,
    
    Ils se meuvent avec merveilles,
    
    Accompagnant les mouvements
    
    De leurs belles propriétaires :
    
    Toutes charmantes jeunes filles,
    
    Ou ayant donnée vie, mères,
    
    Même plus âgés, ils brillent.
    
    Là alanguies sur le sable
    
    Ou sortant des eaux ...
    ... à pas lent
    
    Comme Vénus, convoitables
    
    Et venant des flots écumant.
    
    Ils sont tout dorés comme des fruits,
    
    Ces petits seins au goût salé.
    
    Leur rondeur est toujours garnie
    
    D’une aréole mordorée.
    
    Couple de collines, les tétons,
    
    Tout en rondeur, grâce infini,
    
    Sont, par une large dépression,
    
    Séparés, mais cela ne suffit.
    
    Lorsque la nudité des seins
    
    Est suivie du reste du corps,
    
    La vue est ravie de ces liens :
    
    La chatte et le cul sont de l’or.
    
    Vive les belles naturistes
    
    Qui se laissent admirer,
    
    Oui, elles ont pour les d’artistes
    
    De belles courbes tant aimées.
    
    Seins
    
    Oh ! Belles et rondes poitrines
    
    Vos formes et couleurs sont divines ?
    
    Dissimulées dans un corsage,
    
    Dans la dentelle on la croit sage,
    
    Pourtant chez eux tout est débauche,
    
    Allant ainsi à droite à gauche,
    
    Séparés par un adorable
    
    Sillon les démarquant, louable.
    
    Tout le plaisir est quand ils sont nus,
    
    Qui au moindre mouvement remuent,
    
    Suivant les moindres sursauts du corps.
    
    Beaux, ils scintillent comme de l’or,
    
    Deux monts sur lesquels seraient posés
    
    De durs mamelons roses et dorés.
    
    Seins lourds plaisant à être portés,
    
    Soupesés par les mains attirées
    
    Sous la caresse, le sein durcit,
    
    Bande sous le plaisir ressenti.
    
    Belles aréoles qui se figent,
    
    Qui sous la caresse s’érigent,
    
    Ainsi prêt à être tétées,
    
    Mordillées, agacées, embrassées.
    
    Oui, femmes nous aimons vos globes,
    
    Laissez nous les admirer ces ...