Le peintre et sa muse chapitre 11 - Histoires de Sexe

Le peintre et sa muse chapitre 11

... jouiiiiiiiiiiiiiiis bouffe moi la chatte,ouiiiiiiiiiiii !!!!!!!! putain

c’est trop bon !!!!!

Baise moi maintenant

je veux ta grosse bite dans ma chatte viens vite !!!!!!

Et voilà la troisième erreur il faut toujours s’assurer qu’il n’y a personne.

François se redresse retire ses vêtements et prend place sur le canapé et attire Annie sur lui.

Il veut qu’elle se mette dos à lui, et il la fait descendre lentement vers son épais mandrin.

Il a un moment d’hésitation à savoir où il va planter son sexe, mais Annie décide à sa place et elle avale d’un seul élan toute la mentule.

Le gland vient brutalement en contact avec son utérus, tandis que toute sa cyprine s’écoule sur les testicules de François.

Et Annie commence une danse des plus érotique s’empalant à son rythme à la recherche d’un second plaisir.

François lui malaxe ses grosses mamelles à pleines mains, pinçant les tétons dardés, les faisant tourner entre ses doigts avant de reprendre un vigoureux massage des ces gros melons.

Oh ouiiiiiiii ! baise moi !!! Défonce ma chatte avec ta grosse pine !!!

Je suis pleine de ta queue !!!!

- Ouiiiiii je vais jouir une nouvelle fois!!!!!!!!! Oh oui je décharge sur ta pine !!!!!!!

Mais les cris alertent les peintres encore à l’étage et qui comprennent ce qui se déroule en bas.

En silence ils descendent, guidés par les cris de plaisir d’Annie qui est toujours empalée sur François.

Ils arrivent dans le salon où ils découvrent le tableau et ...

... c’est le cas, le modèle est là devant eux, cuisses écartées chatte bâillante, luisante de cyprine.

Le sang du patron ne fait qu’un tour il bande comme un âne, qu’il est obligé de laisser tomber pantalon et slip et il s’exclame : "Putain de putain c’est la salope du tableau

avec une bite dans le con en plus !!!!!"

Brusquement Annie sort de sa torpeur érotique en ouvrant les yeux et à un mètre d’elle se tient le patron le sexe à la main.

Stupéfaite Annie regarde ce gros sexe, mais vraiment gros sexe, une sorte de manche court plus épais que celui d’une pioche avec des bourses énormes, une sorte de monstre, un engin a vous dilater le vagin à l’extrême, à la limite de vous déchirer ou bien de vous laisser ouverte pour toujours.

Annie, du fait de sa position, cache la scène à François mais au cri de surprise d’Annie ce dernier se penche sur le côté et il comprend l’émoi et la peur d’Annie en découvrant le peintre et son attribut hors de commun.

Mais il sait aussi oh combien Annie est attirée vers les gros sexes ; preuve le sien, mais là c’est la gamme au dessus.

Voyant cela et avant qu’Annie n’esquisse le moindre refus, François la prend aux hanches et il la pousse devant lui afin de se désaccoupler et propulser Annie dans les bras du patron peintre.

Ce dernier enserre Annie dans ses bras puissant et tandis que François quitte le canapé, le patron

entraîne Annie vers ce dit canapé et il s’écroule dessus avec Annie au-dessus de lui.

- Allez avale ma bite ...