1. Le peintre et sa muse chapitre 11


    Datte: 18/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le relieur, Source: Hds

    Le peintre et sa muse
    
    Chapitre 11
    
    Les peintres
    
    Depuis qu’Annie et François avaient accroché le tableau du nu dans l’atelier de Bernard, ce dernier avait prévenu Annie qu’il ferait la sieste tous les jours dans son atelier.
    
    Disons que c’est plutôt pour se régaler du nu érotique d’Annie.
    
    Ce jour là Annie était partie en ville, faire des emplettes, ou peut-être, qui sait, rejoindre François son amant.
    
    Bernard avait téléphoné le matin même à l’entreprise de peinture qui n’avait toujours pas fini de peindre et de tapisser la chambre d’amis.
    
    Le patron lui avait promis de passer en début d’après midi ; d’ailleurs très peu de temps après le départ d’Annie, et juste au moment où il allait rejoindre son atelier, il entend la sonnette d’entrée il
    
    pense même que c’est Annie qui a oublié ses clés ; mais non c’est enfin l’entreprise de peinture.
    
    Les deux hommes sont en tenue blanche, enfin blanche disons un peu maculée de peinture.
    
    Celui qui se présente c’est un type bedonnant grosse moustache et le teint rougeau un type un peu rustre au premier abord.
    
    Et un jeune boutonneux qui le suit comme un petit chien c’est son apprenti.
    
    - Bonjour vous voilà enfin !
    
    - Oui bonjour je suis le patron et ce n’est pas de ma faute j’ai du personnel en arrêt et du boulot par-dessus la tête.
    
    - Oui bien, j’espère que vous allez finir le mien rapidement j’ai parfois besoin de la chambre et je
    
    suis obligé de faire dormir mes invités sur le canapé.
    
    - (et à son ...
    ... apprenti de 18 ans) : Allez gamin tu sais où c’est ?
    
    - Oui patron suivez-moi.
    
    Et les deux peintres accompagnés de Bernard prennent l’escalier pour gagner la chambre d’amis à l'étage de la maison.
    
    Arrivés là :
    
    - Vous avez mis où l’escabeau et les bâches de protection ?
    
    - On les a ramenés à la boite la dernière fois patron.
    
    Bernard intervient dans la conversation
    
    - Ce n’est pas grave, venez avec moi j’ai ce qu’il faut dans l’atelier (première erreur fatale de l’après midi).
    
    Le patron suit Bernard jusqu’à l’atelier et en entrant la première chose que voit le patron, c’est le tableau.
    
    - Joli tableau que vous avez là, c’est vot’ dame ?
    
    - Oh !!! Non !!!! C’est une amie…..
    
    Bernard surpris en bafouille mettant ainsi la puce à l’oreille du patron, qui s’approche du tableau pour regarder la signature mais aussi et surtout regarder de plus près le sexe bien ouvert du modèle.
    
    - Putain vous vous payez du luxe un tableau de François D…… c’est pas donné j’ai vu les prix dans sa galerie !!!!!!
    
    - C’est un ami…..
    
    - Ben vous avez de la chance, une gonzesse comme ça je préférerais l’avoir dans mon lit qu’en
    
    peinture pour lui faire goûter mon pinceau pas vrai…… Vous avez vu ses formes,
    
    un sacré mature !
    
    - Oui bon prenez les bâches sur l’établi et l’escabeau
    
    derrière la porte.
    
    En disant cela Bernard espère couper court aux réflexions au sujet du tableau.
    
    Le patron, saisissant le malaise de Bernard, prend les bâches et l'escabeau et quitte ...
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