1. Le peintre et sa muse chapitre 11


    Datte: 18/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le relieur, Source: Hds

    ... l'atelier sans Bernard, non sans jeter un dernier coup d'œil au tableau qui le fait déjà bander.
    
    Quelques instants plus tard Bernard rejoint la maison et, arrivé au pied de l'escalier, il entend le patron décrire le tableau qu'il vient de voir.
    
    - “Tu verrais, une belle
    
    salope complètement à poil les pattes écartées avec une belle chatte lisse et bien ouverte ouverte.
    
    Bernard décide de retourner à l'atelier.
    
    Un peu vers la fin de l'après-midi Annie rentre chez elle, avec François.
    
    Arrivés dans le salon, pas de Bernard, alors pas le temps de monter à l'étage. (deuxième erreur de l’après midi)
    
    François prend Annie dans ses bras et l'embrasse fougueusement tout en lui remontant la robe légère.
    
    - Laisse-moi aller prendre une douche je sens la transpiration !
    
    - Tu sais bien que j'aime que tu sentes la femme et pas la savonnette.
    
    François fait passer la robe par-dessus la tête, pas de petite culotte puisqu'à chaque fois qu'elle rencontre son amant il lui confisque le vêtement.
    
    Il va finir par vider le tiroir de sous-vêtements.
    
    Annie porte juste un soutien gorge à demi balconnet qui met bien en valeur ses gros seins en poire bien fermes.
    
    Et qui laisse bien visible la moitié des aréoles qui sont brunes et grandes.
    
    - Viens sur le canapé pas le temps de monter dans la chambre, allez viens que je te dévore la chatte.
    
    - Non François tu sais que j'aime être propre j'ai été aux toilettes cet après-midi.
    
    - Tu n'en auras que meilleur goût ...
    ... !
    
    Comment résister à un amant qui désire tant lui donner du plaisir, avec en plus le consentement de son compagnon.
    
    Alors Annie se laisse guider jusqu'au canapé, François lui écarte les jambes au grand compas et il plonge tête la première comme un papillon avide de boire le nectar de cette suave fleur.
    
    François se régale de respirer le doux mélange de transpiration et d'urine, auxquels vient se mêler l'enivrante fragrance de la cyprine.
    
    Et François entreprend de nettoyer consciencieusement toute la fente.
    
    François aspire avec avidité chaque petite nymphe passant sa langue sur chaque millimètre de chair chauffée à blanc, tandis que le nectar coule jusqu’au petit anneau ridé dont il n’a pas encore pris possession mais ça viendra en temps et en heure quand Annie le décidera.
    
    Pour l’instant François ne veut rien perdre de cette délicieuse boisson d’amour et que rien ne se répande sur le canapé.
    
    Alors la langue se fait large pour laper tout l’entrecuisse sensible allant de l’anus au clitoris tendu vers le plaisir.
    
    Au passage la langue se fait pointue pour pénétrer l’orée de la grotte d’où s’écoule tout ce
    
    jus parfumé et brûlant.
    
    Et après quelques allers-retours Annie se laisse emporter dans un tourbillon de folie, ne craignant pas d’être entendu, elle hurle son plaisir tout en serrant la tête de François entre ses cuisses, et elle tremble de tout son corps.
    
    Elle jouit uniquement par les excitations de la langue sur son sexe !
    
    - Oh ouiiiiiiiiiii, je ...
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