1. Le géniteur


    Datte: 16/12/2019, Catégories: fh, copains, miroir, pénétratio, Humour Auteur: Prince Actarus, Source: Revebebe

    ... commençait drôlement à m’émoustiller. C’est à ce moment que Sandra décida de baisser son jeans. Cet effeuillage improvisé fit pulser un jet de sang dans mon « artère principale » à en déformer l’avant de mon propre pantalon. Elle ne portait qu’un petit string rouge qui était très sexy. Puis, toujours en conservant son string, elle se mit à quatre pattes sur le rebord du lit.
    
    – Et tu crois qu’en gardant ton pantalon on va arriver à quelque chose me demanda-t-elle ?
    
    – Non, je crois que tu as raison.
    
    Et passant de la parole aux actes, je défis ma braguette, non sans une certaine pudeur, car je sentais Sandra qui m’observait. Et le fait d’être bandé comme un chevreuil allait lui révéler que j’étais déjà très excité. Ma queue cherchait presque à sortir de mon boxer. C’est le jeans aux genoux que je m’approchai du lit et, avec une grande inspiration, je descendis le dernier rempart qui cachait ma bitte gonflée à souhait. Je perçus un petit sourire sur le visage de Sandra qui avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir. Après tout, j’avais fait la même chose pour elle non ?
    
    – Est-ce que… bien enfin… est-ce que c’est moi qui… euh… bafouillai-je.
    
    – Non, ça va, laisse, je m’en charge.
    
    Sandra avait compris ce que je voulais dire. Puis, sans préambule, elle écarta son string sur le côté pour « dégager la voie » et c’est alors que je vis une magnifique chatte lisse, bien rasée, et un petit trou plissé qui semblait si accueillant. Elle empoigna alors mon sexe pour ...
    ... me guider. Le contact de sa main sur ma queue dure comme le roc m’électrisa. Une question traversa mon esprit. Allait-on avoir besoin de lubrifiant ? Je n’avais aucune idée de ce que pensait Sandra actuellement. Était-elle aussi nerveuse que moi ? Est-ce qu’elle voulait simplement en finir au plus vite ? La réponse m’arriva comme par magie. Sandra, la tête toujours tournée vers ma queue, plaça mon gland à l’entrée de sa chatte, puis elle vint doucement à ma rencontre pour que je m’enfonce en elle. Ma queue glissa comme dans du beurre, mais un beurre bouillant ! J’en étais troublé, car je compris qu’elle semblait excitée la coquine. Quinze partout ! En m’enfonçant progressivement en elle, je la sentis frémir et elle ouvrit instinctivement grande la bouche en retenant sa respiration. Je restai immobile quelques secondes, bien au fond de Sandra.
    
    – Ça va ? demandai-je.
    
    – Oui.
    
    Elle se retourna alors pour s’appuyer sur ses bras, en demeurant passive. Cela semblait être le signal du début des hostilités. C’est à ce moment que je pris les choses en mains. Lentement, très lentement, j’amorçai un mouvement de va-et-vient, tout en douceur, ressortant presque à chaque fois et m’enfonçant le plus loin possible. C’était carrément divin. Je m’en voulais de penser ainsi, mais c’était hors de contrôle. Mon mouvement était si lent que Sandra devait percevoir mes tremblements tellement j’étais nerveux. Mais je ne savais pas quoi faire de mes mains ! J’avais les bras ballants le long de ...
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