Le géniteur
Datte: 16/12/2019,
Catégories:
fh,
copains,
miroir,
pénétratio,
Humour
Auteur: Prince Actarus, Source: Revebebe
... là, j’étais sur le cul ! Ma meilleure amie me demandait de coucher avec elle, pour, oh bien sûr, procréer, mais quand même. Le geste était le même. Elle me proposa de retourner chez moi pour que je prenne le temps d’y réfléchir.
Après quelques jours de réflexion, je rappelai Sandra pour lui faire part de ma décision. J’avais décidé d’accepter. J’avais de la difficulté à réaliser ce que j’étais en train d’accepter. D’un autre côté, je voyais cela comme la chance de faire le plus beau cadeau qui soit à ma meilleure amie. Sandra ne cacha pas sa joie lorsque je lui annonçai la nouvelle. Puis nous fixâmes un rendez-vous, si l’on peut dire…
Le jour J arrivé, je me pointai chez elle avec une légère nervosité. Sandra m’ouvrit avec un grand sourire.
— Salut ! Allez entre.
— Merci
Elle était vêtue d’un jeans et d’une légère camisole blanche, apparemment sans soutien-gorge. Elle me fit passer au salon.
– Tu veux prendre quelque chose ou… ?
Le « ou » suivi d’une hésitation signifiait, je le devinais, « avant qu’on passe aux choses sérieuses ».
– Non ça va merci, je n’ai pas soif.
– Bon OK, bien, tu me suis, on va aller dans la chambre ?
La situation était vraiment étrange. Nous nous connaissions depuis fort longtemps, mais le contexte dans lequel nous nous retrouvions me laissait complètement pantois. Sandra avait préalablement tamisé sa chambre en allumant sa petite lampe de chevet. Sur la droite, il y avait un grand miroir qui faisait presque tout le mur ...
... et devait certainement être très excitant durant certains moments… Mon esprit commençait déjà à divaguer !
– Tu es prêt, me demanda-t-elle ?
Cette question eut pour effet de me sortir de ma transe. Je remarquai alors que ses mamelons avaient durci et me pointaient.
– Et bien, si tu l’es, je le suis, lui répondis-je.
– Je ne sais pas ce que tu en penses, mais j’ai pensé qu’on pourrait le faire en levrette si tu es d’accord. Le fait que tu ne me vois pas le visage t’aidera peut-être à passer à travers cette lourde épreuve, me dit-elle en s’esclaffant. Et le sentiment de culpabilité sera peut-être moins fort ainsi, qu’en dis-tu ?
– Ça me va, et ne t’en fais pas, ce n’est pas une épreuve si terrible que ça, finalement !
Ma réponse eut pour effet de faire rougir Sandra et elle baissa légèrement le regard pour ne pas croiser le mien.
– Bon, bien, allons-y, dit-elle.
Nous étions comme deux gamins de l’école primaire faisant le décompte avant leur premier baiser. Mais il ne s’agissait pas du tout d’un simple baiser déposé sur le bout des lèvres, loin de là. Il s’agissait de l’acte le plus intime entre un homme et une femme. Et Sandra et moi nous nous apprêtions à l’accomplir de la façon la plus mécanique possible, afin d’éviter toute connotation de « relation sexuelle » entre nous. Il ne fallait pas l’oublier, nous faisions « l’acte » uniquement pour la procréation qui était le plus grand désir de ma meilleure amie ! Mais je dois l’admettre, cette situation ...