Le géniteur
Datte: 16/12/2019,
Catégories:
fh,
copains,
miroir,
pénétratio,
Humour
Auteur: Prince Actarus, Source: Revebebe
... mon corps, ne sachant trop quoi en faire. Je n’osais pas prendre l’initiative de mettre mes mains sur mon amie.
– Sandra, est-ce que tu me permets de m’appuyer sur toi, car je crois que je vais perdre l’équilibre comme ça !
– Mais oui voyons, me dit-elle.
Alors, je la saisis délicatement par les hanches, afin de garder mon équilibre. Je décidai d’augmenter un peu la cadence, en y allant toujours en va-et-vient aussi profonds, mais un peu plus secs. Chaque fois que j’entrais en elle, Sandra accompagnait mes mouvements d’une expiration sonore, mais je le voyais, elle semblait vouloir demeurer le plus silencieuse possible. Dans le miroir, je voyais son visage légèrement crispé, le regard vide, les doigts qui commençaient subtilement à farfouiller dans les draps à la recherche de quelque chose pour s’agripper. Toujours en accélérant, je tirais maintenant Sandra par les hanches à chaque mouvement. C’est alors que je sentis qu’elle allait et venait à ma rencontre avec son bassin, elle aussi, comme pour m’accompagner. Les gestes de Sandra avaient pour effet de produire un léger claquement de mes couilles sur ses fesses ; on aurait dit la mélodie du bonheur. Pour m’en assurer, je stoppai mes mouvements brusquement et Sandra donna encore quelques coups puis s’arrêta elle aussi, comme prise sur le fait.
Rassuré, je repris ma besogne afin d’éviter tout malaise de sa part. Cette fois, Sandra demeura passive, comme si elle venait de se faire prendre au piège. Après avoir à ...
... nouveau augmenté le rythme d’un cran, je sentis Sandra m’accompagner du bassin comme avant que j’arrête. J’avais maintenant les mains accrochées à ses fesses en la limant franchement, avec des mouvements rapides et secs. J’avais la vision de son anus qui se tendait légèrement par la pression de mes mains sur ses fesses.
Mes couilles émettaient un bruit sonore excitant au maximum en claquant sur les fesses de Sandra qui haletait sans retenue à présent. Je la voyais s’agripper aux draps qui étaient maintenant tout emmêlés, laissant entrevoir le matelas tellement elle s’y accrochait. Je voyais ses seins sous sa camisole suivre le rythme de mes assauts. J’entendais ses fluides corporels émettre de petits sons tellement ils étaient abondants. Puis, sans que je m’y attende, Sandra passa une main entre ses cuisses et commença à se frotter le clitoris et, du même coup, caressa mes couilles pendant deux à trois secondes par en dessous. Mais elle s’arrêta net. Il est probable qu’elle ne s’était pas rendue compte de ce qu’elle venait de faire. J’étais subjugué par ce geste et cela m’encouragea à y aller de mouvements encore plus forts. Elle retira sa main presque aussitôt, comme prise au piège pour la deuxième fois dans le feu de l’action.
– Oh, excuse-moi, je suis désolée, fit-elle rapidement.
– Mais non, ça va voyons, la rassurai-je.
De la même main, elle semblait chercher quelque chose sur le lit. Elle semblait faire des efforts surhumains pour se contenir. Je sentais ...