Pure
Datte: 13/12/2019,
Catégories:
f,
revede,
miroir,
uro,
Auteur: Kebur, Source: Revebebe
... tournait le dos. Et Éléonore était là, dedans ce miroir, une fée cabotine dans un corps de diane, en tenue de vénus, allongée sur le sol. Sa peau était dorée à souhait, et semblait si douce… Les yeux clos, la respiration rapide, ce reflet aux joues rosies était échevelé – joliment. Un rapide coup d’œil sur le bas-ventre du succube assura Éléonore qu’à son instar, sa vessie était pleine, atrocement et splendidement pleine.
De sa main gauche, elle pétrissait sauvagement ses seins, les maltraitait, les faisait dépasser leurs limites et pointer toujours plus haut vers le ciel ambré, proche de l’éclatement. Sa main droite quant à elle était douce, aérienne et virevoltait autour et sur la vulve du reflet. Ses cuisses étaient elles aussi brillantes de sa liqueur sucrée, et son sexe gonflé de plaisir à l’extrême. Éléonore regardait, dévorait avidement pour ne laisser aucune miette ce spectacle, ce canon de beauté à la peau couleur de pêche qui n’était autre qu’elle-même se livrer à la plus intime et salvatrice des activités. Mais à regarder sans cesse, la belle ne tarda pas à sentir ces caresses et ces électrochocs de plaisirs que se communiquait la démone ; elle ne tarda pas à être ce reflet, à réintégrer sa moitié cabotine.
Ses mains furent libérées de leurs entraves, son corps digne d’Aphrodite aussi et elle s’effondra sur le sol, une main pétrissant et soulageant enfin ses beaux globes laiteux, tandis que l’autre faisait son office plus bas, dans la plus grande intimité ...
... d’Éléonore où elle prodiguait merveilleuses caresses et divines touches. La soie protectrice et les sandales ne tardèrent pas à disparaître dans la brume fraîche, et la nymphe à se retrouver nue, échevelée, soumise comme jamais à ce plaisir extraordinaire qui ne cessait de croître, croître, au delà de toute limite connue du vivant. Et un souvenir lui vînt : elle était dans sa voiture, bataillant désespérément pour retenir ses eaux ; elle se souvenait s’être masturbée et avoir succombé à un plaisir, à un orgasme d’une intensité rare. Et ce fut le déclencheur de toutes choses.
D’allongée sur la brume elle se retrouva cambrée complètement, avec uniquement les pieds et l’arrière de la tête reposant dans l’agréable humidité. Puis vinrent les spasmes, des spasmes de plaisir pur, de petites tornades orgasmiques à eux seuls qui la traversaient de part en part, de plus en plus vite, toujours plus forts. Et quand l’un déclencha de violentes contractions dans son bas-ventre, son or liquide fut expulsé à grands jets puissants – de ceux que seules les gens qui poussent leurs muscles abdominaux au maximum peuvent produire – et elle s’évanouit submergée par le plaisir. Pour une seconde. Quand elle reprit conscience d’elle-même, elle déversait toujours à grands jets ses eaux, et l’orgasme qui la terrassait était d’une telle violence – procurait un tel plaisir – que le cri qui l’accompagna fut magnifique, capable à lui seul de faire jouir les étalons d’une nation entière. Le silence fut ...