1. Pure


    Datte: 13/12/2019, Catégories: f, revede, miroir, uro, Auteur: Kebur, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :Prise dans un embouteillage monstrueux alors qu’elle sortait du travail, Éléonore, jeune femme de 23 ans, sentit monter en elle une envie d’uriner qu’elle savait ne pas pouvoir contenir. Sur un vague souvenir, elle se mit à se masturber dans l’espoir que son corps retienne les eaux assez longtemps pour qu’elle puisse se saisir d’une bouteille et se soulager dedans. Peine perdue. Le plaisir était tel, avec sa vessie pleine à craquer, qu’elle ne sut s’arrêter et eut un orgasme d’une puissance rare. Bien sûr, elle perdit tout contrôle de sa vessie sur le coup…L’embouteillage enfin dissipé, la belle rentre enfin chez elle, quelques quatre heures après avoir été prise dans la circulation…
    
    — Enfin !
    
    Aux alentours de 22 h 15, il fut annoncé à la radio que le poids-lourd avait enfin été dégagé de la voie, et après maintes plates excuses concernant la gêne occasionnée, qu’il ne restait plus qu’à nettoyer intégralement le bitume pour éviter une chaussée trop glissante. Dans un élan d’espoir, le présentateur ajouta que cette dernière opération ne saurait être longue… elle dura tout de même facilement trois-quarts d’heure. Ce n’est donc que vers 23 h que la colle de taule fut enfin diluée et que la circulation reprit, doucement d’abord, puis de plus en plus fluide, jusqu’à devenir complètement liquide, aussi peu visqueuse que de l’eau.
    
    Vingt minutes plus tard Éléonore se trouvait dans le parking souterrain de l’immeuble où se trouvait son ...
    ... appartement, et pliée en deux, à moitié dans le parking et à moitié dans la Mini, elle écopait avec la bouteille vide le maximum d’urine, pour éviter de tacher à vie le cuir du siège – peine perdue après plus de deux heures d’imprégnation. Puis elle se retrouva dans son entrée, en train de remettre mécaniquement les clefs dans le vide-poches sur la console, avant de se diriger vers le dressing pour y ranger sa veste, son sac et ses escarpins. Elle était épuisée, n’avait pas le moins du monde envie de passer aux toilettes, ni d’aller travailler le lendemain d’ailleurs. C’était le 28, elle avait plein de réunions plus ou moins importantes, des brevets plus ou moins gros à classer… elle n’irait pas, elle se ferait porter pâle. Et c’est dans cette optique de week-end prolongé qu’elle se jeta sur le lit toute habillée avant de se lover dans les coussins et de s’endormir, quasi-immédiatement.
    
    Dans une ruelle sombre, au beau milieu d’une ville inconnue, elle courait nue, tâchant d’échapper à un poursuivant inexistant. D’une manière presque grotesque, son bas-ventre était enflé à l’extrême, et à chacun de ses pas, le bruit d’un ballon de baudruche qu’on secouait résonnait contre les hautes parois de la sinueuse rue mal éclairée. Elle n’avait pas froid malgré sa tenue de Vénus, mais elle ne se sentait pas très bien, la tête un peu douloureuse, la vision floue sur les bords. À ses oreilles ne parvenaient plus que des bruits étouffés, son pas de course devenait plus lourd, plus gauche, et la ...
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