1. La belle saison 4/8


    Datte: 10/12/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... et finis de lui oter sa robe, sur laquelle je l’allonge avant de me jeter sur elle et de l’embrocher. Ses jambes remontent et viennent se verrouiller autour de mes reins. Je la pistonne vivement et elle semble apprécier le traitement, mais nous sommes interrompus par des voix qui se rapprochent.
    
    Nous nous figeons un instant. Je reprends mon mouvement, lent et long, m’appliquant à entrer et sortir en elle de toute ma longueur, sans faire de bruit, tandis, qu’au dessus de nous, nous entendons la discussion diffuse d’un groupe qui passe, sans se douter qu’un couple est en train de s’envoyer en l’air, à moins d’un mêtre d’eux.
    
    Les bruits de voix décroissent et finissent par s’estomper dans la nuit. Sandra se dégage et se positionne à quatre pattes, m’enjoignant ainsi de la posséder. Je m’enfonce en elle, et commence à la pistonner, me servant de ses hanches pour donner la cadence à mon bassin.
    
    Sandra commence à gémir de plus en plus fort, projetant son cul contre mon bassin, ses fesses claquant sur mon ventre. Je sens mon sexe grossir en elle et son plaisir dégouliner de sa fente.
    
    « Oh oui, vas y, n’arrêtes pas, encore, encore, plus fort ! vas y ! y y y ! »
    
    Elle pousse un long cri de jouissance et s’immobilise, laissant retomber la tension sexuelle qui l’animait. Après quelques instants elle se retourne et me prends dans sa bouche pour une pipe magistrale à laquelle je ne résiste pas très longtemps. Elle s’accroche à mes fesses et je déverse dans sa bouche de ...
    ... longues giclées. Elle s’étouffe presque mais réussit à me garder en elle. Elle recrache le sperme dans le sable et me reprend en bouche jusqu’à ce que toute trace d’érection ait disparu, puis elle remonte mon boxer, cachant l’objet du délit. Je rajuste mon jean, pendant qu’elle se relève et secoue vigoureusement sa robe avant de la renfiler, se contentant de trois ou quatres boutons, ce qui dévoile assez largement sa poitrine et ses jambes, quasiment jusqu’à l’aine.
    
    « Ma robe est pleine de sable maintenant . » puis se tournant vers moi « Mais ça valait le coup. »
    
    Une fois sur la route, elle se met en tête de secouer sa robe à la portière, pour enlever le sable, mais le vent lui arrache des mains, et je dois m’arrêter pour qu’elle puisse la récupérer. Heureusement, la route était déserte. Nous regagnons la station, et je prie pour qu’aucune patrouille de gendarmerie ne m’arrête, avec une fille nue comme un ver, sur le siège passager.
    
    Le lendemain, nous avons décidé d’aller nous baigner. J’emmène Sandra, au bord d’un lac de montagne. Je ne pensais pas y trouver autant de monde, mais la plage est bondée quand nous arrivons en début d’après-midi. Nous devons longer la rive, à pied, pour trouver un espace moins encombré. Inutile, cependant d’espérer trouver une anse déserte. Nous dégottons une petite crique pas trop peuplée, et décidons de nous y arrêter. Une fois nos serviettes étendues sur le sol, Sandra défait le nœud qui maintient son paréo, et apparaît dans un deux pièces ...
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