1. La belle saison 4/8


    Datte: 10/12/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... dinette ensemble.
    
    Sans surprise je ne la trouve pas à mon appartement, en début d’après-midi.
    
    Elle arrive une demi heure après-moi, un paréo noué autour de la poitrine. Elle ne me laisse pas le temps de parler, et se jette sur moi. Ses mains se faufilent partout et ont tôt fait de me dévétir. Mon dernier vêtement arraché, alors que je suis allongé sur le lit, elle se redresse, et dénoue son paréo, apparaissant en slip de bain minimaliste juchée sur d’immenses talons. Elle tire sur les lacets qui maintiennent sa culotte pour les dénouer et le tissu tombe à terre dévoilant sa chatte entièrement rasée, luisante de désir. Puis elle vient m’enjamber et saisissant ma verge, la plante dans sa vulve dans laquelle je m’enfonce avec délectation. Assise sur moi, elle monte et descend en rythme avec des soupirs d’aise, tandis que je lui malaxe les seins dont les pointes sont maintenant dures grosses comme des framboises. Elle se penche en arrière et vient saisir mes couilles, en les pressant légèrement. Elle halète au dessus de moi, et je sens que, de mon côté, je ne vais pas pouvoir me contenir très longtemps. Sentant mon sexe grossir, elle commence un mouvement de bascule d’avant en arrière, son ventre venant de frotter au mien à chaque mouvement vers l’arrière, et me projetant profondément en elle vers l’avant.
    
    Elle balbutie des mots inintelligibles, les yeux fermés, les bras posés sur ma poitrine alors que son bassin est pris d’une dans de saint-Guy incontrôlée. Tout à ...
    ... coup elle s’arrête, et replie ses jambes sous elle. S’aidant de ses cuisses, elle commence un mouvement vertical de plus en plus rapide, à la limite de m’expulser, puis venant claquer furieusement contre mon ventre en s’empalant brusquement. Ce dernier sprint, sensuel, fait monter d’un cran la tension. Je sens la chaleur qui part de mes testicules et remonte le long de ma queue, jusqu’à une sensation de brûlure qui s’intensifie lors de l’explosion finale. Les cris de Sandra accompagnent cette cavalcade, et nous jouissons tous deux dans un râle d’extase, avant de nous effondrer, repus, fourbus, mais heureux.
    
    « J’en avais besoin » me dit elle simplement.
    
    « Moi aussi, mais quelle fougue ! »
    
    « C’est la séance de bronzage. »
    
    « Je ne savais pas que le soleil te faisait cet effet. »
    
    « Tu sais que je t’ai dit que j’ai rencontré une Kiné ? »
    
    « Oui, et alors ? »
    
    « Alors déjà, tu la connais. »
    
    « C’est possible, j’ai croisé, plus ou moins tous les kinés de la station »
    
    « Mais elle te connaît. Elle s’appelle Joelle. »
    
    « Ah oui, je vois ! »
    
    « Tu l’as sautée ? »
    
    « Mais non ! pourquoi veux tu ? »
    
    « Parce que c’est une drôle de coquine. Nous avons commencé par une petite dinette : melon, avocat salade, et fruits. Après le café elle m’a proposé de rester avec elle puisque tu n’étais pas là. Nous nous sommes donc étendues sur les transats. Elle a commencé à se deshabiller et s’est retrouvée en culotte. Ne voulant pas paraître nunuche, j’ai oté mon soutif, et ...
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