1. La belle saison 4/8


    Datte: 10/12/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... déambulons dans les ruelles noires de monde, à la recherche d’un restaurant, pas trop bondé. Alors que nous lisons la carte d’un restaurant italien, j’avise qu’il y a aussi des tables au premier étage, et à une de ces tables, Christophe, avec, en face de lui Marie-Pierre. Vu le caractère qu’elle a , je lui souhaite bien du plaisir !.
    
    Après une salade composée, et une glace, nous entrons dans une des discothèques , et sommes aussitôt submergés par une vague de chaleur et de son tonitruant aux basses vibrantes. Les tubes les plus récents s’enchainent. Pas moyen de trouver une place assise. Nous nous lançons donc sur la piste de danse. Sandra se remue et tourne en cadence. Sa robe qui virevolte, laisse entrevoir dans la pénombre, ses jolies fesses, et son intimité. Un coup d’œil autour de moi me suffit pour constater que je ne suis pas le seul à l’avoir remarqué. Plusieurs mâles, se sont approchés d’elle et l’encadrent de près. Sandra se faufile entre deux d’entre eux et vient se pendre à mon cou en riant, ce qui semble décourager les prétendants.
    
    « Ils sont un peu collants. » me dit elle.
    
    « Il faut dire que tu leur dévoile tes fesses. Ils ont sans doute pris ça pour une invitation. »
    
    « Oh non ! je n’ai rien mis dessous pour que tu voies bien que je n’ai aucune marque de bronzage. »
    
    « J’ai vu…ou plutôt, tout le monde a vu ! »
    
    « De toute façon, il n’y a même pas un endroit pour se poser ici. Allons ailleurs. »
    
    Nous quittons les lieux sous les regards dépités ...
    ... des garçons et haineux des filles.
    
    Un peu plus loin, au bout de la promenade, nous trouvons un endroit moins bondé, où nous nous installons. Nous dansons, au rythme des tubes de l’été, et nous relaxons dans des fauteuils profonds, en savourant des Mojitos bien frais.
    
    Vers les 4h du matin, nous regagnons notre voiture, car nous avons encore une heure de route. Nous passons par le front de mer, quasi désert à cette heure. S’arrêtant sous un réverbère, Sandra, déboutonne sa robe, et en écarte les pans, dévoilant sa nudité.
    
    « Alors, que penses tu de mon bronzage ? »
    
    Sa peau uniformément dorée, ses petits seins pointus, et sa minette imberbe, me font craquer. D’un bond, je saute le muret qui nous sépare de la plage, et lui tends les mains. Elle se laisse guider, et vient s’asseoir au bord du mur, jambes pendantes vers moi. Je les écarte sans ménagement, et viens embrasser sa vulve découverte. Sa main appuie sur ma tête m’encourageant et ma langue vient chercher son clito pour le titiller. Elle se penche en arrière, soulevant le bassin pour me laisser un accès plus complet. Ma langue ne suffit bientôt plus et mes doigts viennent remplir sa cavité, s’agitant spasmodiquement et provoquant des soupirs de bien-être. Tout en continuant de lécher son clito, ma main gauche remonte et vient pincer un sein au téton érigé
    
    La belle, abandonnée, dénudée garde le sens des réalités et me signakle qu’elle voit des gens s’approcher. Sans attendre, je la fais descendre de mon côté, ...
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