1. Rêve ou réalité


    Datte: 09/12/2019, Catégories: fhh, extracon, cocus, inconnu, vacances, parking, caférestau, vengeance, revede, Oral nopéné, Humour Auteur: Sophie et David, Source: Revebebe

    ... avec Jean-Pierre, dit-elle dans un grand éclat de rire.
    
    Mon amour… Elle ne m’appelle jamais comme cela.
    
    Le paiement ne nous prit guère de temps. À côté de moi, j’entendais Sophie glousser comme une gamine alors que Jean-Pierre lui chuchotait des choses à l’oreille.
    
    — Voilà, on peut sortir.
    
    À peine le seuil franchi, Jean-Pierre prit la main de Sophie et l’entraîna sur un des côtés du parking. Moi, comme un idiot, je suivais…
    
    — Viens par là, Sophie, il n’y a personne et on ne verra rien de la route.
    
    Sur le côté du restaurant, il y avait quelques camions stationnés et des conteneurs pour les déchets recyclables.
    
    — Approche par là, on sera tranquilles, lui dit Jean-Pierre en la tirant toujours par la main.
    — Doucement, on a le temps, répliqua Sophie.
    — Excuse-moi, mais je suis pressé de voir tes petits trésors à l’air libre.
    — Hi hi, gloussa Sophie, ben viens défaire les boutons du chemisier, alors !
    
    Sophie se mit le dos contre le mur du restaurant et Jean-Pierre, s’empressant de venir devant elle, commença de suite à défaire les derniers boutons. Très vite, il écarta le chemisier pour apercevoir le soutien-gorge en dentelle blanche de Sophie. Celle-ci ne disait plus rien. Jean-Pierre fit glisser le chemisier de ses épaules pour le lui retirer. La scène était complètement ahurissante : Sophie, là, sur un parking, en soutien-gorge, devant cet inconnu qui a priori ne ferait fantasmer aucune femme, elle qui fait toujours attention à ce que je ne la vois ...
    ... pas en petite tenue !
    
    Jean-Pierre avait à présent les mains sur le ventre de Sophie, et il remontait sur ses seins. À travers la dentelle des bonnets je voyais ses tétons qui pointaient déjà bien fort… Sophie commença à soupirer lorsque Jean-Pierre écarta un des bonnets, mettant à jour un téton. Celui-ci me sembla bien plus gros que d’habitude ; visiblement Sophie était très excitée… D’un geste, Jean-Pierre fit glisser les deux bonnets vers le haut et la poitrine nue nous apparut en entier…
    
    — Mumm, tes nichons sont vraiment mignons, Sophie… (et de ses grosses mains il les prit en entier.) Tu es vraiment bandante, tu sais… hein, tu sais que tu me fais bander ?
    
    Il se pencha pour embrasser ses seins et lui sucer les tétons. Sophie avait toujours les yeux fermés, mais sa respiration était de plus en plus rapide et entrecoupée de petits soupirs.
    
    — Tu veux baisser mon pantalon, Sophie ? J’ai envie que tu me touches la queue.
    — Non, pas ici, trouvons un autre endroit… On pourrait retourner au mobile-home, David, non ?
    — Écoute Sophie, je pense que ça suffit maintenant. Où veux-tu en venir, là ?
    — C’est toi qui me demandes ça ? Tu ne manques pas d’air ! Soit tu viens, soit tu restes ici, c’est tout ! Et j’espère pour toi qu’au moins tu bandes !
    
    Elle replaça les bonnets de son soutien-gorge sur ses seins, reprit son chemisier et l’enfila sans même prendre la peine de le boutonner, puis se dirigea vers la voiture. Jean-Pierre se mit contre elle, lui mit la main à la ...
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