Rêve ou réalité
Datte: 09/12/2019,
Catégories:
fhh,
extracon,
cocus,
inconnu,
vacances,
parking,
caférestau,
vengeance,
revede,
Oral
nopéné,
Humour
Auteur: Sophie et David, Source: Revebebe
... peu idiot, mais bon, je suis prêt à toucher la poitrine de madame…
Celui-là ne manquait vraiment pas d’air ! Sophie a levé les yeux vers lui et m’a regardé en pouffant de rire, ce qui m’a de suite détendu.
Je m’adressai alors au VRP :
— Désolé monsieur de vous avoir mêlé à ça, mais tout ceci n’était qu’une conversation privée et nous nous sommes laissés emporter.
— Dans ce cas, excusez-moi…
Sophie intervint alors :
— Non, non, restez là et venez à côté de moi ! Puisque j’ai été mise au défi et que vous vous proposez, ma poitrine est prête…
En disant cela, elle bombait le torse.
— Comme cela nous verrons bien si je suis aussi inintéressante que ça ! Je suis Sophie, mon mari David, asseyez-vous, allez, ne faites pas le timide maintenant !
— Bonjour Sophie, bonjour David, moi c’est Jean-Pierre. Plus de première jeunesse mais bon ! Vous voulez que je… comment dire… fasse ça ici ?
— Dis-moi « tu », répondit Sophie, ça me mettra plus à l’aise.
— D’accord Sophie. Je peux te toucher ici, alors ?
— Allons-y, oui… Donne ta main.
Elle le fit asseoir sur la banquette à côté d’elle, lui prit la main et la posa sur son chemisier au niveau de son sein droit. Je la regardai faire sans rien dire mais je commençai à m’inquiéter.
— Alors David, tu vois que je peux encore me décoincer…
Elle ne lâchait pas la main de Jean-Pierre, toujours posée sur son sein.
— Sophie, tu ne me sembles pas coincée du tout, répondit Jean-Pierre.
— Et je resterai des heures ...
... dans cette position… si David le permet.
Je hochai la tête en signe d’assentiment.
Sophie lâcha la main de Jean-Pierre mais se colla un peu plus contre lui tout en me fixant. Jean-Pierre commença à lui malaxer le sein de plus en plus fort, puis passa à l’autre. Sophie ne disait rien mais souriait et semblait me narguer.
Tout ceci me parut très long, mais ne dura en fait qu’une ou deux minutes.
— On pourrait peut-être sortir d’ici, si tu veux passer tes mains sous mon chemisier, dit Sophie d’un coup.
— T’es vraiment sympa, toi… et il lui fit un bisou dans le cou.
J’ai senti à ce moment que je n’avais plus beaucoup de prise sur les évènements.
— Sophie, n’oublie pas qu’on doit reprendre les enfants au camping.
— On a le temps, non ? Pour une fois qu’on fait quelque chose qui sort de l’ordinaire…
En disant cela, elle défit deux boutons de son chemisier et écarta un peu son décolleté pour que Jean-Pierre puisse regarder…
— Humm, sympa ta lingerie… On va dehors ?
— OK, je te suis. Tu paies, David ? On t’attend sur le parking.
Voilà, je sens que tout m’échappe ! Elle me prend pour qui ?
— Non, attendez-moi ! On paie ensemble !
J’ai pas envie qu’elle parte avec ce mec alors qu’avec moi elle veut plus rien faire ! Ma parole, la jalousie me prend ! Pourtant dans mon pantalon je sens mon érection qui continue à grandir. Ça me rassure… et j’imagine que l’autre doit être dans la même situation, le salaud…
— T’inquiète pas, mon amour, je vais pas filer ...