1. Comment elle m'a mis à ses pieds


    Datte: 08/12/2019, Catégories: fh, fépilée, hsoumis, fdomine, humilié(e), BDSM / Fétichisme pied, Masturbation hdanus, coprolalie, sm, init, hsoumisaf, Auteur: Soumisobéissant, Source: Revebebe

    ... elle, pendant qu’elle se délassait dans le canapé. Elle portait une jupe assez courte qui découvrait ses longues jambes, et un débardeur assez simple mais qui mettait sa poitrine en valeur. Elle ôta ses chaussures à talons à l’aide de ses seuls pieds, et fit remonter son pied désormais déchaussé vers mon entrejambe, qu’elle frotta de son pied. Je n’en pouvais plus, excité par sa domination sur moi. Ce premier contact, que j’attendais depuis des mois, me fit durcir au point que je me sentis très serré dans mon jean. Mon bourreau le remarqua à la bosse qui déformait mon pantalon. Sans mot dire, elle se leva, se rendit dans sa cuisine, et revint avec une grande paire de ciseaux. Elle se rassit sur le canapé et me donna l’ordre de me déshabiller devant elle, puis de jeter mes habits à côté d’elle. Je m’exécutais, enlevant ma chemise, puis baissant mon jean à mes chevilles. J’étais en caleçon devant elle, et hésitais un peu à poursuivre ce strip-tease forcé. Mais le seul ordre de «continue esclave» me fit enlever mon dernier habit, et m’exhiber devant ma maîtresse qui arborait désormais un sourire satisfait et presque sadique. Elle me contemplait comme un jouet, avec avidité et lubricité. Elle me regarda droit dans les yeux, puis saisi mon caleçon qu’elle découpa avec les ciseaux devant moi. Impuissant, je la regardais faire de même avec tous mes vêtements, m’interdisant tout retour en arrière, me forçant ainsi à être nu devant elle.
    
    — Maintenant, à quatre pattes ! Mets-toi à ...
    ... mes pieds, esclave !
    
    J’obéissais, honteux. Mes genoux et mes paumes de mains ayant touché terre, je me sentais tellement rabaissé… et pourtant je bandais comme jamais. J’étais à quatre pattes, nu, et je bandais comme un âne. Quelle humiliation. Ma tortionnaire souriait de me voir ainsi soumis, et excité de l’être. Elle était métamorphosée. La douce jeune fille qu’elle semblait être était devenue une maîtresse implacable, qui me regardait désormais comme un objet sexuel.
    
    — Bien, maintenant lèche mes pieds.
    
    C’est ainsi que je commençais ma basse besogne. Je m’étais abaissé à lécher les pieds nus de cette jeune fille qui n’avait cessé de m’humilier. Moi qui, il y a à peine trois mois de cela, avait des envies et des fantasmes tout à fait banals, elle avait fait de moi sa chose, elle m’avait fait aimer lui obéir et m’humilier pour elle. Le reste d’honneur que je ne lui avais pas encore offert, le peu qu’il me restait, venait de s’envoler avec mon premier coup de langue sur ses orteils.
    
    Et maintenant, elle me les enfournait dans la bouche.
    
    — Bouffe-les, sale chien ! Je suis ta déesse, vénère-moi, lèche-moi les pieds comme l’esclave que tu es. Montre-moi ton adoration pour moi.
    
    Puis elle prit un livre qu’elle commença à lire pendant que je continuais à lécher ses pieds. Je continuais ainsi pendant près d’une heure, jusqu’à ce qu’elle juge que je l’avais assez honoré. Elle me donna alors l’ordre de me tourner, et de lui présenter mon cul.
    
    — Maintenant que tu t’es ...
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