1. Comment elle m'a mis à ses pieds


    Datte: 08/12/2019, Catégories: fh, fépilée, hsoumis, fdomine, humilié(e), BDSM / Fétichisme pied, Masturbation hdanus, coprolalie, sm, init, hsoumisaf, Auteur: Soumisobéissant, Source: Revebebe

    Tout a commencé sans trop que je ne sache comment.
    
    J’ai rencontré cette fille, Shiraz, lors d’une de ces nombreuses soirées lors desquelles on est invité sans vraiment connaître les gens ni sans vraiment avoir envie de les rencontrer, seulement parce qu’on était là au moment de l’invitation ou parce qu’on connaît le meilleur pote de l’organisateur. Shiraz était une jolie petite métisse, d’origine syrienne ou iranienne je crois, en tout cas d’un pays pas banal. De fait, elle avait un joli teint de peau hâlé, des yeux noirs, de longs cheveux ondulés plus foncés que l’ébène et, pour ne rien gâter, une paire de seins bien ronds et lourds, et une paire de fesses rebondies. Et ses jambes… de longues jambes, lisses, galbées… Bref, le genre de fille que l’on admire le verre à la main juste pour le plaisir des yeux car on sait très bien que les chances de la séduire sont minces.
    
    Je suis pourtant loin d’être vilain : 25 ans, 1,80 m, brun aux yeux bleus, plutôt beau cul d’après certaines de mes amies, bref pas désagréable à regarder. Mais je ne suis pas non plus un top modèle et je manque un peu de confiance en moi.
    
    Mais finalement, ça a du bon de siroter dans son coin en faisant son asocial. Après un ou deux verres de trop, titubant un peu en me déplaçant parmi les invités, je percute la belle en question, reversant ma vodka-pomme sur son chemisier. M’excusant platement, en bafouillant, je perds encore plus mes moyens lorsque je me rends compte que j’ai renversé mon breuvage ...
    ... sur l’objet de mes fantasmes de la soirée, sa poitrine.
    
    Celle qui avait commencé à me lancer un regard noir change alors d’expression. Ayant sans doute remarqué ma gêne et mon émoi, elle semble s’amuser de me regarder m’empêtrer dans mes excuses en restant plantée devant moi, le buste bien droit et son regard moqueur rivé dans le mien. Je ne peux alors que détourner mes yeux et m’éloigner en balbutiant d’ultimes excuses, cherchant un endroit à l’écart pour y cacher ma honte.
    
    Tout cela serait dramatique, ou seulement vaguement ridicule si on relativise, si la demoiselle ne m’avait pas rejoint pour me faire savoir qu’elle ne m’en veut pas, et que cela peut arriver à tout le monde. Elle en profite également pour me demander, un qui je suis car elle ne m’a jamais vu dans l’entourage de l’organisateur de la soirée (et pour cause), et deux pourquoi j’ai passé le plus clair de la soirée tout seul. Après lui avoir expliqué que la seule personne que je connaissais s’était levé une petite minette dans la première heure de la soirée, me plantant par la même occasion, elle accepte de me tenir un peu compagnie. J’étais aux anges. La soirée finissant, nous nous en tenons à un échange d’adresses de Messenger, car elle s’est faite voler son portable la semaine d’avant.
    
    Apres cette soirée, que s’est-il passé ? Pourquoi suis-je en ce moment nu sur le sol ?
    
    Ah, ça me revient. Je pense que Shiraz ne m’aurait peut-être jamais rappelée si nous avions échangé nos numéros de téléphone. En ...
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