1. Comment elle m'a mis à ses pieds


    Datte: 08/12/2019, Catégories: fh, fépilée, hsoumis, fdomine, humilié(e), BDSM / Fétichisme pied, Masturbation hdanus, coprolalie, sm, init, hsoumisaf, Auteur: Soumisobéissant, Source: Revebebe

    ... l’air.
    
    J’obéis. Elle reste sur le canapé et me fourre son pied encore plus loin dans la bouche. Cette position lui permet de me piétiner le visage, et de me forcer à prendre complètement en bouche ses pieds, l’un après l’autre, voire les deux.
    
    Comment en suis-je arrivé à lécher les pieds de cette fille que je connais à peine ? Toutes ses manipulations m’avaient certes mis en de bonnes conditions. Elle m’avait peu à peu envoûté, contrôlé, façonné selon ses désirs… bref, elle m’avait dressé. Mais même arrivé au point où j’en étais, je n’aurais jamais pensé à genoux devant elle, en train de vénérer ses pieds, elle qui était devenue ma déesse.
    
    Pour notre rencontre, elle m’avait donné rendez-vous à une terrasse de café en centre-ville, vers le milieu d’après-midi. Lorsque j’arrivais, je constatais avec effroi qu’elle n’était pas seule à la table du café. Une autre jeune fille, blonde, grande, aux yeux bleus, à la poitrine volumineuse était présente. Elle était plus belle physiquement que charmante. En fait, elle n’était pas très attirante, mais son physique de top model était de nature à intimider tout homme qui ne se sentirait pas tout à fait sûr de lui. Après leur avoir fait la bise, je m’asseyais à leurs cotés.
    
    — Tu n’as pas trop de mal à t’asseoir ? Tu dois avoir mal aux fesses, non ? me demanda Shiraz sans détour, faisant allusion à ce qu’elle m’avait fait faire quelques jours avant.
    
    Je devins rouge, mon coeur s’emballa, mon estomac se noua et je me sentis ...
    ... chanceler. Elle n’allait quand même pas m’humilier aussi ouvertement devant cette fille que je ne connaissais même pas.
    
    — Stéphane s’est fait mal au coccyx en tombant de vélo il y a quelques jours de cela, dit Shiraz à son amie, m’arrachant ainsi un soupir de soulagement : elle n’avait pas raconté mon humiliation en public.
    — Tu sais Sonia, Stéphane est un garçon très dévoué, très doux. Si je voulais exagérer, je dirais qu’il se plie à mes moindres désirs… C’est un garçon très bien. Nous nous sommes rencontrés par hasard dans une soirée, et je voulais te le présenter car nous sommes de bons amis désormais.
    
    Je comprenais désormais mieux la présence de cette amie. Shiraz avait visiblement l’intention de me torturer par de multiples sous-entendus susceptibles de mettre cette fille au physique parfait au courant de mes inavouables soumissions aux jeux de son amie, ce qui m’humilierait devant cette fille dont la seule présence me faisait craindre le plus petit faux pas. Elle continua ainsi jusqu’à ce que mon regard devienne comme elle l’attendait : suppliant, et témoignant de ma reddition. Elle abrégea alors notre entrevue au café, et m’emmena chez elle. Je ne résistais pas.
    
    Arrivés à sa demeure, elle me fit passer dans le salon, s’assit sur le canapé et, alors que j’allais m’asseoir également, elle me dit :
    
    — Reste debout, ce que j’ai dit tout à l’heure doit être vrai, il faut ménager ton petit cul après ses exploits de l’autre jour.
    
    Je restais donc planté devant ...
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