1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (54) : le cinéma, lieu insolite.


    Datte: 05/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... sens mon odeur sur ses lèvres, je me sens bien et je sais que la soirée n’est pas finie, qu’il me réserve d’autres surprises.
    
    A peine le film terminé, la femme se lève et fuit timidement. Je me lève aussi, Claude me tend la main, je me jette dans ses bras et l’embrasse. Une fois sortis de la salle, je me serre langoureusement contre lui, en lui disant : « l’ai encore envie ».
    
    Je pense à cette femme, qui fut témoin de notre plaisir, à ce qu’elle a vu et j’ai encore envie de faire l’amour avec cet inconnu.
    
    Modifiant le programme initial, Claude me conduisit à l’hôtel le plus proche et fût l’amant d’un soir. Je me suis, pendant quelques heures, offerte à lui.
    
    A L’HOTEL
    
    A peine étions nous arrivés dans la chambre, Claude entreprit de me déshabiller.
    
    Je me montre au regard avide de l’homme. Mes seins sont dressés, je suis excitée et cela se voit à mes tétons dressés. Claude est en chemise et pantalon, à la bosse qui déforme maintenant le devant de celui-ci, je vois l’envie qu’il a de moi.
    
    • tu me plais, tu es belle! Tu as un beau cul. Je bande, je vais t’en mettre plein la chatte ma belle!
    
    Je défais la braguette, fais tomber le pantalon, le caleçon et maintenant un long sexe noueux, épais, doté d’un gland large et luisant, se dresse devant moi.
    
    Puis il m’a soulevée, pris dans ses bras puissants et m’a posée sur le lit. Maintenant il se repait de mes formes, mes seins, mon ventre, mes cuisses, ma chatte à peine recouverte d’une fine toison brune.
    
    • ...
    ... T’es trop belle, ton mari a bien de la chance!
    
    • Viens! Viens baises moi!
    
    • Oui, mais suces moi un peu avant, j’aime ça!
    
    Claude s’est avancé, j’ai saisi la verge dressée. Maintenant j’enveloppais le sexe d’une main, le masturbant lentement de haut en bas puis mes lèvres avalèrent le gland gonflé de désir. Un liquide clair suintait du méat, sa langue le goutta et lécha le gland.
    
    • Allonges toi, je vais te lécher la chatte maintenant, écartes bien les cuisses!
    
    Claude s’est penché sur mon ventre, il me tient aux hanches et déjà sa langue courre sur ma chatte, entre dans mes lèvres charnues, trouve mon clitoris dressé par l’envie et le suce. Je posais les mains sur la tête de l’homme, presse la bouche gourmande sur moi. Il me dévore de longues minutes, allant du bouton d’amour à l’entrée de mon vagin.
    
    Je mouille abondement, je suis ouverte. Je suis prête.
    
    Pressé de me prendre il s’est relevé, s’est couché sur moi entre mes cuisses largement écartées. Il est lourd s’appuie sur ses avant-bras pour ne pas m’écraser.
    
    • Prends là, mets là!
    
    J’ai pris le sexe dur et l’ai guidé dans l’entrée ouverte de ma grotte d’amour.
    
    D’un coup de reins puissant et impatient il m’a pénétrée, m’a investie de toute la longueur de sa verge. Les va et vient sont puissants, lents, intenses. Je m’offre à mon amant sans retenue.
    
    Les larges mains de l’homme me caressent la nuque, les flancs, les seins. Sa bouche me dévore le cou, cherche mes lèvres que je ne cherche pas à ...
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