Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (54) : le cinéma, lieu insolite.
Datte: 05/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... ne pas faire de bruit durant l'extase, car l’objectif est de faire jaillir sa semence. J’aime tellement ça que, quand le film est suffisamment long, une fois ne me suffit pas. Après avoir revigoré ma victime par des caresses, puis en le masturbant, je remets le couvert. Il m’arrive de quitter une séance de cinéma avec des traces suspectes sur mon chemisier ou mes cheveux, permettant de comprendre mon occupation pendant la séance.
Philippe me dit souvent qu’en matière de fellation, je ne suis pas seulement une gourmande, mais une vorace. Je lui réponds alors qu’il est à moi, à ma disposition, en particulier sa bite que je veux dans chacun de mes orifices et m’abreuver du fruit de ses couilles. Philippe me dit aussi que j’avais besoin d’un mari candauliste, car même un mâle endurant ne suffirait pas à la tâche.
Comme je l’ai dit, j’adore la fellation, que je pratique assidument depuis mon adolescence et ce, avant même mon dépucelage.
Tous mes amants, et ils ont été nombreux, me disent que je suis la meilleure pipeuse qu’ils aient connue. Ca me flatte beaucoup. J’ai souvent fait hurler mes partenaires de plaisir, rien qu’avec ma bouche, ça me donne un sentiment de toute-puissance, c’est jouissif mentalement ! Pour rendre un homme heureux, aimez son sexe !
Cela se joue en un regard avec lui, c’est une complicité joyeuse. J’ai, mes lecteurs le savent, beaucoup d’appétit pour le sexe, rien ne me dégoûte. Je ne demande jamais rien en retour, les choses viennent ...
... spontanément. La pipe, il faut s’y intéresser, apprendre à bien la faire. L’indispensable ciment d’un couple, c’est d’avoir en tête ce qui peut combler l’autre. Penser à l’autre, anticiper son plaisir évite bien des frustrations.
Pour moi, la fellation est indispensable. Je la pratique souvent, en allant au bout ou pas. Naturellement, avec Philippe, ou avec un amant en qui j’ai confiance, je ne me dérobe jamais et prends soin d’avaler le précieux nectar, car j’adore ça. Avec les autres, quand ça se passe dans un cinéma, je sais qu’inévitablement j’aurais bien du mal à la sortie à cacher les traces de leurs giclées sur mon visage, mes cheveux ou mon chemisier.
FAIRE L’AMOUR AU CINEMA, UN DECLIC !
J’ai expliqué dans « Lectures érotiques (8). Le Déclic de Milo Manara » l’importance qu’avait eue dans la construction de mon hypersexualité la découverte, dans « l’enfer » de la bibliothèque familiale, à l’insu de mon père (c’est du moins ce que je croyais) du tome 1 de cette bande dessinée érotique.
Une des scènes qui m’avait plus que troublée, littéralement fascinée, était celle où Claudia est au cinéma, avec son mari Arnaldo (pages 25 à 28 de la bande dessinée). Claudia branle son voisin, puis lui taille une pipe. Le type l’amène au fond de la salle, où il va sodomiser Claudia, tout cela sous les yeux du mari cocu. Au fur et à mesure que Fez augmente la puissance de l’appareil, Claudia abandonne toute résistance et invite l’inconnu à lui défoncer le cul.
La scène et les ...