Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (54) : le cinéma, lieu insolite.
Datte: 05/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... soie et ce presque jusqu'au niveau de la dentelle des jarretelles.
S'installant au volant il se tourna vers moi et me dit :
• vous êtes terriblement belle et séduisante, est-ce pour moi ?
• Peut-être, dis-je, espiègle. Où m’emmenez-vous ?
• C'est une surprise... vous aimez bien les surprises, n'est-ce pas ?
Sans un regard de plus, il posa sa main chaude sur le haut de ma cuisse encore dévoilée, ce qui me procura un frisson de volupté. Sur le trajet, il s’est contenté de me caresser tendrement l’intérieur de la cuisse, sans parler, comme concentré sur sa conduite, mais frôlant parfois la chair nue.
Je bougeais pour pouvoir écarter mes jambes et libérer un passage vers mon intimité, avec le secret espoir que le dernier rempart de dentelle ne soit plus un obstacle pour sa progression.
Mais il n’en a eu cure, délaissant mon sexe sans même le frôler, cela a fait monter d’un cran mon excitation.
Soudain il s’est engagé dans une descente de parking souterrain, il se gara et coupa le moteur.
• Nous sommes arrivés. Mais avant de sortir, j’aimerais que vous enleviez votre petite culotte et que vous la déposiez dans la boîte à gants !
Pour une fois que j’en avais mise une ! D’un geste langoureux j’ai levé une à une mes jambes pour pouvoir retirer délicatement le minuscule petit bout de dentelle transparent.
• C’est bien, je vois que vous avez compris ce que j’attends de vous !
Il sortit du véhicule, m’ouvrit la portière et, me tendant la main, il ...
... m’a conduit vers un ascenseur.
La porte s’est ouverte sur le hall d’un centre commercial au niveau des cinémas. Je ne m’attendais pas à ça. J’avais manifestement affaire à un original !
• Nous irons diner ensuite.
Il choisit un film où il savait qu’y avait peu de public. Ce qui l’intéressait n’était évidemment pas le film, c’était moi.
Une porte battante grince. La lumière exprime la pudeur du lieu. , Il n’y a que quelques spectateurs. Je monte la rampe devant lui, jusqu’à la dernière rangée de fauteuils, contre le mur noir, sous les projecteurs qui s’échappent de trois petites fenêtres asymétriques.
Un grincement, la porte. Une ombre, une dame. La quarantaine, vêtue sans goût, plutôt terne, mais bien faite. Blonde, les traits volontaires, un peu trop durs, et ses yeux bleus. Son regard parcourt la salle sombre. Elle fait grincer un fauteuil, au bout de notre rangée.
Claude me prend la main. Je le regarde, il fait sombre. Ses lèvres se rapprochent des miennes, ses lèvres me cherchent. Je réponds à son baiser.
Sa langue est contre la mienne, je l’aspire, elle vit dans ma bouche, souple et nerveuse, presque fraîche. Sa main passe sur ma joue, je suçote sa langue. La dame, le reste du public? Nous n’y pensons plus. La main de Claude passe sur mon épaule, descend sur mon sein droit. Je renverse ma tête sur le fauteuil, je ferme les yeux, je me sens bien avec cet homme.
La main de Claude descend sur ma hanche, ses doigts cherchent et trouvent ce qu’ils ...