Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (54) : le cinéma, lieu insolite.
Datte: 05/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... pour en mesurer le diamètre. Je savais qu’il allait me défoncer et j’ai écarté en grand les cuisses que les autres hommes soutenaient, pour que le black puisse mettre sa grosse et longue queue dans mon vagin.
J’ai cru qu’il allait me transpercer le ventre avec son pieu d’ébène. Il m’a secouée comme un vulgaire sac de viande sans se soucier de mon plaisir et paradoxalement, c’est cela qui m’a beaucoup excitée. Servir de vide couille à un black musclé et viril, qui ne voulait que de la baise, du sexe bestial dans un cinéma porno avec un black, c’est ce que j’étais venue chercher. Que du bonheur !
Après m’avoir limée pendant de longues minutes, il a fini par éjaculer un torrent de foutre épais sur mon ventre et l’a étalé en me disant que je penserais à lui ce soir.
Quand je suis rentrée à la maison, Philippe m’attendait et m’a demandé de différer la douche dont j’avais pourtant besoin, m’entrainant dans la chambre et me déshabillant avec impatience. Mon mari candauliste a, à l’évidence, apprécié les « traces »qu’avaient laissées ces types sur le corps de sa « salope adorée ». Il ne regrettait qu’une chose : n’avoir pas être témoin de ces moments, car il adore que je me laisse aller aux pires extrémités. Pas rebuté par mon état, il me couvrait de baisers et de caresses, m’a gratifié d’un cunnilingus qui me brisa de plaisir, avant de me prendre en levrette avec une fougue toute particulière. Mon Philippe aime quand son Olga est particulièrement salope !
AVEC UN ...
... INCONNU
En ce qui concerne la seconde anecdote, elle s’est déroulée dans un cadre qui s’apparente autant au candaulisme, au vu de la complicité de Philippe, que de l’adultère, au vu de mon comportement.
C’était l’automne 2015. Mon abstinence durait depuis un moment et Philippe avait accepté que nous cherchions ensemble une rencontre pour moi sur internet. Mon choix, approuvé par Philippe, s’était arrêté sur un homme, Claude, qui habitait une agglomération voisine. Nos échanges m’avaient donné envie de le rencontrer, bien qu’il refusait le cadre candauliste. Philippe ne pourrait donc assister.
Philippe, qui a toujours la crainte que je m’attache à un amant, était réticent. A force d’insistance de ma part, il a fini par céder. J’ai promis à Philippe de tout lui raconter et de ne pas revoir l’homme une autre fois, ni de lui laisser mon adresse. J’ai donc donné rendez-vous à l’homme pour le lendemain soir.
Je choisis soigneusement ma tenue, en évitant d’en faire trop, y compris sur mon maquillage.
Une jolie voiture aux vitres opaques s'est garée juste devant notre lieu de rendez-vous et il est apparu, dégageant un charme fou.
Je suis allée le rejoindre. Il m'ouvrit la portière en me tendant sa main.
• Bonsoir, Olga. Comment allez-vous ?
Un vrai gentleman, j’ai apprécié qu’il me vouvoie.
• Bonsoir Claude. Bien, merci, et vous ?
• De mieux en mieux, je suis ébloui par tant de beauté.
M'installant confortablement, j’ai dévoilé mes jambes gainées de bas de ...