Mes copines me manipulent - Histoires de Sexe

Mes copines me manipulent

... m’empêcher de m’accroupir derrière elle, pour essayer de voir ce qui se cachait sous sa jupe. Je fus étonnée de voir son sexe entièrement épilé, dépourvu de sous-vêtement, qui semblait m’appeler.

Je m’approchai alors doucement d’elle et je glissai ma main entre ses cuisses sans les toucher, jusqu’à atteindre son sexe et je commençai à le caresser, excitée, entre la peur de sa réaction et l’envie de lui faire l’amour. Mais je fus très étonnée de la voir relever sa jupe, m’offrant une vue imprenable sur son sexe et son fessier fin mais toujours très ferme. Je me levai alors, elle me suivit et sans un mot je l’allongeai sur la table, lui écartant les jambes comme pour un examen gynécologique, puis je plongeai mon visage vers son sexe que je léchai frénétiquement, sans tendresse, prise par l’excitation. Je n’avais plus envie de lui faire l’amour mais je voulais la baiser sans réfléchir. Elle saisit alors mon visage et me fit remonter vers elle pour m’embrasser. Elle fit ensuite glisser sa main sous ma jupe et l’élastique de ma culotte, puis positionna son doigt entre mes fesses, me titillant l’anus en faisant parfois glisser plus bas sa main pour faire remonter un peu de mon liquide sur mon anus, comme pour le préparer. Nous ...

... nous arrêtâmes un instant pour monter dans la chambre, où elle prit l’initiative de me déshabiller avant d’en faire autant pour elle, puis elle me mit en levrette avant de m’enfoncer ses doigts dans mon sexe détrempé et de me lécher l’anus, enfonçant sa langue comme j’avais pu le faire avec Alexandra. Elle me retourna, posa son sexe sur ma bouche et plongea à nouveau sur mon sexe, qu’elle dévora alors qu’elle écartait soigneusement mes fesses pour y insérer ses doigts. Je lui rendis son traitement et nous poursuivîmes ainsi jusqu’à l’orgasme. Après plusieurs instants, elle me fit un sourire et me murmura à l’oreille :

— J’ai été ravie de faire ta connaissance, tes copines m’ont prévenue ce matin en partant, de venir te rendre une petite visite pour te tenir compagnie, que tu étais assez ouverte et accueillante.

Puis elle partit en ajoutant :

— Au fait, je m’appelle Chloé, et si tu en as envie, tu peux venir me voir à la boulangerie du petit village en contrebas.

Je compris soudain que je m’étais fait avoir et manipuler, mais bon c’était avec plaisir.

Vous l’avez compris, nous allons arriver au cinquième jour de cette péripétie, je vous laisse donc là-dessus pour terminer mon histoire la prochaine fois.

À suivre…