Mes copines me manipulent
Datte: 04/12/2019,
Catégories:
ff,
fff,
copains,
vacances,
bain,
fsoumise,
cérébral,
noculotte,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
Auteur: Claire13, Source: Revebebe
... chaude que jamais. J’avais l’impression d’être envahie par un démon à la recherche de jouissance, à tel point que je ne voyais rien de ce qui se passait autour de moi, concentrée sur cette langue qui explorait mon sexe. Christina en avait profité pour faire le tour et elle m’enfonça un doigt directement dans l’anus, en forçant le passage sans préliminaires, mais cela m’était égal, je voulais être possédée. Puis elle en mit un second, alors qu’Alexandra, elle, enfonça deux doigts dans mon sexe si humide qu’ils glissaient tout seuls.
Je ne contrôlais plus rien et c’est ce qui était agréable. Je criais mes envies, leur sommant de me pénétrer plus fort, ce qui les autorisa à joindre un troisième doigt dans mes orifices et je me sentis remplie. Virginie vint m’embrasser et je reconnus instantanément le goût du sexe d’Alexandra sur ses lèvres. Je fus enfin délivrée par un orgasme puissant, où mes gémissements se mêlaient à ceux des autres filles dans une espèce de chant de gloire. Il me fallut un long moment pour retrouver mes esprits, mais quand je revins sur terre je vis ces cinq femmes nues qui étaient autour de moi, et je les désirais toujours, au point que je passai l’après-midi à faire l’amour avec chacune d’elle. C’est le froid arrivant qui mit un terme à nos ébats.
Le lendemain, après une longue nuit de sommeil je me réveillai seule dans la maison, avec un petit mot me disant que les filles partaient pour la matinée et reviendraient vers 13 h 00. Et il était tout ...
... juste 9 h 00. Je me demandais ce que j’allais faire de ma journée, quand j’entendis la cloche dehors. C’était la fille du boulanger qui faisait sa tournée de la semaine. Je l’invitai alors à rentrer et je choisis une belle miche de pain, pour finir la semaine avec les filles. Je lui proposai de boire quelque chose et elle me répondit que j’étais sa dernière cliente, « alors pourquoi pas, puisqu’elle avait le temps ». Nous discutâmes un petit moment devant un verre de jus d’orange et elle me raconta qu’elle s’ennuyait beaucoup ici, car il y avait peu de jeunes dans le coin, sauf l’été pour les vacances quand les chalets se remplissaient. Pour ma part, je l’écoutais en la dévorant des yeux car elle était belle, blonde avec des cheveux lisses et longs, une bouche fine avec un sourire parfait. Elle portait une jupe comme on en voit dans les films de campagne, ample et qui remontait, laissant entrevoir ses cuisses, ainsi qu’un haut à demi-transparent, laissant voir une poitrine petite mais ferme, surplombée de tétons dressés par la fraîcheur matinale. Je fis tomber au sol mon verre, qui se brisa instantanément, tellement j’étais hypnotisée par cette fille que j’imaginais nue, lui faisant l’amour comme avec mes amies. J’étais devenue une sorte de nymphomane incapable de contrôler mes pulsions, je ne pensais qu’à lui faire l’amour. Elle me proposa son aide pour ramasser les morceaux de verre et elle se mit alors à quatre pattes, avec un chiffon pour ramasser le verre et je ne pus ...