Mes copines me manipulent - Histoires de Sexe

Mes copines me manipulent

... moment sur son anus que je pénétrais maintenant, découvrant la sensation de l’étroitesse de cet orifice qui me forçait à durcir ma langue pour entrer en elle. Son rythme s’accéléra et ses gémissements se firent plus réguliers. Je voulus me caresser en même temps, mais elle m’en empêcha, ce que je lui fis payer en forçant un peu plus mes succions et mes coups de langue, j’étais trempée et frustrée mais j’avais envie de la faire jouir et je finis par atteindre mon but. Elle se releva, me sourit, déposa un tendre baiser sur mes lèvres couvertes de sa moiteur, puis me demanda de me rhabiller. Je ne compris pas pourquoi elle me laissait ainsi et elle m’ordonna de ne pas me caresser ni de prendre de douche.

Nous partîmes donc vers 11 h 00 et après trente minutes de marche nous arrivâmes près d’un petit ruisseau à l’abri de tous les regards, sur une petite plage d’herbe. Après que nous nous fûmes installées, nous déjeunâmes des sandwichs préparés ce matin vite fait. Après le repas, nous allâmes nous baigner un peu, toutes nues, et je découvris à nouveau ces corps gracieux qui m’avaient hantée ce matin sous la douche. On chahutait en s’éclaboussant et en s’attrapant, puis au fur et à mesure, le jeu changea de direction et les mains frôlèrent les seins et les sexes, s’attardant chaque fois un peu plus. Puis de longs baisers s’échangèrent et les couples se formèrent. Sophie se mit avec Céline ; Virginie avec Christina et Alexandra ; et donc moi, toute seule, n’osant pas aller vers ...

... elles.

Je restai donc dans l’eau et je me mis à regarder. Sophie et Céline semblaient surexcitées, s’embrassant fougueusement et se massant les seins l’une l’autre avec beaucoup de fermeté, avant d’adopter une position en soixante-neuf et de se dévorer réciproquement leur sexe. J’avais envie de me caresser mais je ne pouvais m’y résoudre, en me souvenant de ce que j’avais promis à Alexandra. Elle, en revanche, ne se privait pas, avec Virginie qui lui dévorait l’entrejambe et Christina qui s’occupait de son anus. Elle finit même par avoir deux doigts dans chacun de ses orifices, alors que je repensais à notre ébat du matin, ce qui durcit mon clitoris au point qu’il en devenait douloureux. Alexandra tourna sa tête vers moi et me lança un regard chargé de désir, qui me transperça de toute part. Je m’imaginais enfoncer mes doigts en elle et lui parcourir le corps de ma langue, goûtant chacune des parcelles de son corps avant de m’attarder sur son sexe, buvant chaque goutte de cyprine qui s’en échapperait. Je sortis alors de l’eau et me mis en face d’elle, un peu accroupie, lui offrant ainsi mon sexe que j’écartai pour qu’elle s’y plonge. Elle fit alors passer un de ses mains entre mes jambes puis la posa sur mes fesses, me tira vers elle et se mit à aspirer mon clitoris avant de le lécher avec fureur, pendant que je me tortillais dans tous les sens comme une chienne en chaleur. Je compris soudain pourquoi elle m’avait laissée sur ma faim ce matin : afin que je devienne plus ...