Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 03-03
Datte: 02/12/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... qui murmura :
- J'savais bien que tu obéirais, ma petite pute de voisine.
Je tournai brusquement la tête pour découvrir celle de mon voisin, celui que l'on avait toujours snobé, celui qui m'avait tripoté par ma fenêtre.
- Tourne ta tronche devant toi et ferme ta gueule.
Il se collait dans mon dos, jouait de son bassin au point que je sentis une excroissance contre mes fesses. Une main arriva sur mon ventre et se mit à le pétrir. Le lecteur dont le visage était à hauteur de la main, jeta un œil de travers. La main musarda sur ma hanche droite, sur ma cuisse droite et vint se ficher à la fourche des jambes. Par la faute d'une veste trop courte et d'un tissu bien trop fin, elle empoigna ma vulve et la massa sans ménagement.
Elle cessa à l'arrêt suivant. Nouvelle bousculade et pression dans l'allée. Pour ne pas tomber sur l'homme assis, je dus m'appuyer sur la vitre du bus. Quand je parvins à me redresser, deux mains m'enserraient la taille. Elles se posèrent au haut de mes jambes, de chaque côté. Lentement, les dix doigts se mirent à remonter la robe. J'essayai de les repousser mais ils étaient trop forts.
- Laisse-moi faire petite pute. J'parie que tu mouilles comme une salope, dit-il à mon oreille.
La robe arriva au haut des bas, découvrit les jarretelles, la peau blanche des cuisses, le noir de ma culotte. L'homme assis en profita aussitôt pour lancer sa main et venir ainsi caresser ma chatte par-dessus la culotte découverte. La jupe fut relâchée et ...
... vint recouvrir les doigts vicieux du frotteur.
Les boutons de la veste ne tinrent le vêtement fermé que quelques instants et mon voisin, toujours collé à mon dos, s'empara de mon sein gauche et de ma fesse droite.
- T'as des gros nichons ma salope... un gros cul aussi... j'vais y fourrer mon majeur...
- Arrêtez, tentai-je mais en vain mais bien trop doucement pour calmer mes agresseurs. Hurler n'aurait fait qu'attirer l'attention de tous dans ce bus. Ma culotte venait d'arriver sous mes fesses, descendue par le type assis. Mon voisin eut le chemin libre pour venir fourrer un doigt dans mon cul. Je me retrouvais pénétrée devant et derrière, sous ma robe, par deux mains cruelles sans oublier une autre qui pétrissait mon sein par-dessus la robe. La chose dura un moment, le temps de deux arrêts. Je ne pus empêcher de mouiller car mon clitoris était frictionné sans cesse et la pénétration anale, une fois l'intromission passée, contribuait à un plaisir honteux. Je n'eus pas la force de les repousser.
Par chance, mon voisin retira son doigt et disparut dans ce monde compressé. L'homme assis se leva sans me regarder et quitta son siège en se faufilant au mieux entre les voyageurs. Je pus m'assoir tout en couvrant ma culotte baissée avec ma robe. Ce n'est qu'au terminus que je descendis en laissant sortir les autres personnes avant moi. Quand ma culotte eut repris sa place, je repris un bus pour faire le voyage en sens inverse.
J'avais raté mon rendez-vous avec mon ...