1. Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 03-03


    Datte: 02/12/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    Cette histoire est complètement imaginaire, de l'ordre du fantasme. Les personnages sont fictifs et majeurs. Les violences faites aux femmes sont condamnées par l'auteur. Si vous n'aimez pas les situations de contrainte, d'humiliation, voire de viol, ne lisez pas.
    
    Ce texte est le 3
    
    ième
    
    de la série « Soumise à mon beau-fils ».
    
    Jour 12 - MARDI -- Récupérer la jupe
    
    Ce matin-là, au moment de partir au lycée, Théo m'interrogea.
    
    - Alors 'çoise, tu ne devais pas te présenter hier? Que se passe-t-il? Tu refuses de m'obéir?
    
    - Non, je ne... refuse pas. C'est-à-dire, je n'ai pas encore la jupe. Je dois la récupérer aujourd'hui.
    
    - Quand tu veux, belle-doche mais n'oublie pas : à chaque jour de retard, c'est 5cm en moins à ta jupe et une taille en moins à ton chemisier! Il ne va peut-être pas apprécier le pater!
    
    - Oh Théo, pas ça devant ton père! Ne lui fais pas ça!
    
    Il ne répondit pas, me planta là, sourire narquois aux lèvres, assommée par la menace de devoir me présenter à mon mari dans sa tenue horrible.
    
    Mes pensées critiquèrent ma vie actuelle. A cause de ce maudit Théo, tous mes avantages risquaient de disparaître : l'argent, la belle maison, le bien-être. A l'extérieur, hors cet environnement censé me protéger, le monde me paraissait encore plus menaçant : pas de famille, pas de travail, où pourrais-je me réfugier?
    
    Je devais aller en ville au sex-shop récupérer la jupe commandée l'avant-veille. Je me couvris de sous-vêtements noirs assortis de ...
    ... bas autofixants, d'une robe longue aux genoux, de souliers, de mon imperméable.
    
    J'arrivai à 11h au sex-shop. Le vendeur était seul mais ce n'était pas le même que mercredi, il était plus vieux.
    
    - Bonjour. Je viens chercher une jupe que j'ai commandée. Votre collègue m'a dit de passer aujourd'hui. Vous l'avez reçue?
    
    - Ben... sais pas, répondit-il, il ne m'a rien dit.
    
    - Vous pouvez le joindre, lui demander?
    
    - A cette heure-ci! Vous n'êtes pas bien vous, il dort encore, il a fermé tard hier. Il va me démonter la gueule si je le réveille.
    
    - Mais je m'en moque, m'exclamai-je énervée et furieuse, réveillez-le, il m'avait dit que la jupe serait disponible ce matin. Débrouillez-vous!
    
    Ma colère ne régla rien, bien au contraire. Il m'envoya balader sans ménagement.
    
    - Si vous n'êtes pas contente, allez voir ailleurs. Rien à foutre de votre jupe de merde. Cassez-vous!
    
    - Pardon, pardon monsieur, excusez-moi. Je... c'est-à-dire... j'en ai besoin, vous comprenez. S'il vous plaît, aidez-moi.
    
    Il se calma, me regarda de haut en bas.
    
    - D'accord, je l'appelle mais si vous vous mettez à poil... tout de suite.
    
    Je restai clouée de surprise, le fixai droit dans les yeux où je ne décelai aucune pitié.
    
    - Alors, dit-il, c'est oui ou merde?
    
    Je n'avais guère le choix. Ce mardi, j'avais déjà un jour de retard, à condition que je parvinsse à me présenter à midi. Ma jupe n'aurait guère plus que 30cm et mon chemisier taille 40.
    
    - C'est d'accord mais fermez la porte ...
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