Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 03-03
Datte: 02/12/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... abondamment.
La douleur devint vite insupportable et m'obligea à implorer la pitié. Quand elle cessa, je sentis quelque chose au bord de mon anus. Ce quelque chose le força et vint remplacer la douleur des coups par une sensation horrible d'écartèlement.
- C'est tout ce que tu mérites, salope, te faire enculer!
JOUR 13 VENDREDI -- Le voisin se manifeste
Tous les vendredis, j'allais chez mon coiffeur. Je me devais d'être parfaitement soignée tant je servais d'objet de luxe à mon mari. Il n'aurait pas apprécié que je fusse négligée.
Comme de coutume, à 8h30 j'allai au garage prendre ma mini. Jolie voiture cadeau de mon mari, pas tant pour me faire plaisir que pour me montrer sous une image de richesse. Mais une fois assise, je découvris un petit papier, invisible de l'extérieur, posé sur le tableau de bord.
Changement de programme.
Ce matin tu prends le bus de 9h
Debout dans l'allée à côté du siège 32
Bas, porte-jarretelles, robe, veste, culotte et soutien-lolos
Si tu n'obéis pas, ton cul à la fenêtre montré à tout le quartier
Tel fut l'ordre que je découvris avec en prime une photo prise la semaine dernière lorsque j'avais nettoyé les vitres. Mon mari et son fils était déjà partis, le premier à son travail, le second au lycée. Qui donc m'avait laissé cet ordre? Mon voisin probablement ; lui seul avait dû me voir à la fenêtre. Je ne pouvais pas perdre mon temps en conjectures. Pour être à 9h au bus et en tenue, je devais me presser.
Je ...
... fonçai donc dans ma chambre tout en me déshabillant, trouvai rapidement bas et jarretelles, ceux-là même qui m'avaient causé mes tourments actuels, culotte et soutien-gorge, le tout en noir, puis enfilai une robe. Une jolie robe à fleurs, longue aux genoux, large, un peu flottante. Sa fraicheur masquait les sous-vêtements plutôt vulgaires. Je me couvris d'une veste assortie dont je fermai les trois boutons.
J'arrivai au bus, essoufflée mais juste à temps. Cette précipitation m'avait empêché de gamberger, aussi l'angoisse reprit-elle en montant les 3 marches du véhicule. Le bus était bondé, ce qui était normal pour une heure de pointe. Je payai le chauffeur peu aimable et m'avançai dans l'allée en m'excusant de forcer le passage pour arriver à la place 32. J'entendis même un «
fait chier celle-là
». Par chance, je ne fus pas longue à trouver le siège 32, placé dans la rangée des sièges uniques, côté du conducteur.
La place était occupée par un homme qui lisait un bouquin. Je restai là, debout, face à la fenêtre, contre son siège, un bras levé pour tenir la barre du plafond, l'autre devant moi pour tenir le haut du fauteuil. Le bus s'ébranla un peu violemment. A la station suivante, les nouveaux entrants poussèrent les corps déjà serrés pour augmenter la désagréable promiscuité bien connue des usagers du métro. Par chance, placée face à une vitre, j'évitai les haleines fétides d'autres passagers.
C'est dans le cou que je sentis le souffle chaud détestable d'une voix ...