Marie en novembre
Datte: 20/03/2018,
Catégories:
Hardcore,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... pas… Peut-être que oui… »
« Ça vous fait drôlement bander, en tout cas », dit-elle en se mettant accroupie, cuisses écartées.
Puis elle se mit à le sucer. Je n’en loupais pas une miette. J’étais à moins d’un mètre d’elle, mais elle n’avait plus un regard pour moi. Je ne comptais plus vraiment. J’aurais même pu m’absenter pour marcher dans le jardin, elle aurait continué et je ne lui en aurais pas voulu. Il était tellement fréquent qu’on baise chacun de notre côté, en dehors de nos jeux.
« Vous aimeriez que je sois mineure ? » dit-elle en levant les yeux vers l’homme qui s’était mis à lui caresser la tête.
Il me regarda brièvement, puis revint à Marie qui le suçait.
« Oui. »
La langue s’enroula autour de la base du gland, puis elle s’en prit ensuite à la fente qu’elle humecta délicatement. On y voyait de mieux en mieux. Les yeux s’habituaient. Elle reprit la queue dans sa bouche, jusqu’au fond, et elle pompa de cette façon pendant un petit moment, puis elle se releva d’un seul coup en disant :
« Prenez-moi debout. Si je me cambre bien et que vous pliez les jambes, ça devrait le faire. Pas profond. Juste le gland entre mes lèvres. »
L’homme ne prit pas la peine de répondre, ni de me regarder. Il plia les jambes et Marie écarta bien les siennes, tout en ouvrant ses lèvres avec ses doigts. Et le gland s’y colla. Puis s’enfonça un peu. Il ressortit, puis rentra de nouveau. Une main de l’homme s’était glissée sous le manteau pour prendre une fesse. Je ...
... bandais toujours, mais je ne participais pas.
« Je suis au lycée », dit Marie entre deux gémissements.
« Je ne vous crois pas », dit l’homme.
« Peu importe. Je suis en terminale, ça vous va ? »
Il poussa un long soupir, sans cesser de pénétrer Marie, puis il dit :
« Oui, en terminale, c’est bien. Non, attendez, plutôt en première, dit-il. Ma nièce est en première et… Oh putain… »
La bite se retira et le sperme gicla sur le pubis de Marie.
Il tenait toujours sa fesse.
Il répéta :
« Putain… Aurore, ta chatte… Aurore, petite salope… »
Il giclait toujours.
« Touche mon gland, Aurore… Oui, comme ça… Putain oui… Ma fente, oui, touche-la, petite salope… »
Jusqu’à la goutte ultime, Marie agita son doigt le long de la fente du gland, tandis que tout le corps de l’homme semblait trembler. La goutte perla, puis se cramponna au bout du doigt. Il lui lâcha la fesse et posa sa main sur la joue de Marie en disant :
« Je suis désolé, mademoiselle. La fille cadette de mon frère s’appelle Aurore et je… »
« J’ai bien compris », dit-elle en éloignant ses doigts du gland.
« Rien ne nous choque, dis-je en rangeant ma queue. On est ouvert à ce genre de fantasme, rassurez-vous. »
« Merci, vraiment… » dit-il en rangeant sa queue à son tour.
Marie referma son manteau sur son ventre. Elle souriait.
Avant de nous quitter, elle proposa à l’homme de noter son numéro et de venir chez elle, quand il le voulait, histoire de mener le fantasme en question : il ...