1. Marie en novembre


    Datte: 20/03/2018, Catégories: Hardcore, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... rendez-vous », dit Marie.
    
    L’homme la regarda :
    
    « Disons que c’est un peu particulier… »
    
    Marie n’ajouta rien. Moi non plus. On attendit la suite. L’homme se montra un peu embarrassé, mais il finit par dire :
    
    « Il y a des gens qui se retrouvent dans ce secteur du jardin, certains soirs, dit-il. Pour… Comment dire… Les uns se montrent, les autres regardent. »
    
    « Se montrent ? » dit Marie.
    
    « Oui. Ils s’exhibent, c’est le terme. Mais je sens que c’est fichu pour ce soir. Je suis venu pour rien et ça m’ennuie, car j’habite à douze kilomètres d’ici. J’aurais aimé qu’ils me préviennent qu’ils annulaient. Je serais resté chez moi au chaud devant un film. »
    
    « Effectivement, c’est ennuyeux… » dis-je.
    
    L’homme soupira. Nous étions à mi-distance de deux lampadaires et on ne distinguait pas les détails des traits de son visage. On ne distinguait pas non plus ceux de Marie qui se tenait à ma gauche, son bras toujours autour du mien. J’ai rompu le silence :
    
    « Nous, c’est Marie et Antoine. »
    
    L’homme hocha la tête :
    
    « André. Enchanté. »
    
    « Peut-être que… dis-je. Peut-être qu’on peut faire en sorte que vous ne soyez pas venu ici pour rien. Qu’en dis-tu ma chérie ? »
    
    Marie se tourna vers moi et répondit :
    
    « Oui, on doit sûrement pouvoir faire quelque-chose. »
    
    « C’est gentil, dit l’homme. Qu’est-ce que vous proposez ? »
    
    « Tu as une idée, ma chérie ? »
    
    « Eventuellement, dit-elle. Mais je ne sais pas si ça va vous convenir. »
    
    « Dites toujours », ...
    ... dit l’homme.
    
    « Je peux vous montrer ma chatte, si vous voulez. »
    
    J’aimais décidément cette fille. Je ne suis en train de dire que j’étais amoureux d’elle, non. C’était un pacte entre nous : surtout pas de sentiments. Seulement du sexe et du plaisir en liberté. Mais j’aimais qu’elle me surprenne à tous les détours des jeux qu’on menait ensemble, avec des inconnus.
    
    « J’apprécierais beaucoup, dit l’homme. Mais je ne veux pas qu’il y ait de soucis avec votre compagnon. »
    
    « Qu’en penses-tu, chéri ? » me dit Marie.
    
    « Il n’y a pas de soucis, dis-je. On ne va tout de même pas laisser ce monsieur rentrer chez lui comme ça. »
    
    « Bon, dit-elle en retirant son bras pour faire sauter un premier bouton de son manteau en fourrure. Vous y voyez assez clair, ou vous préférez qu’on s’approche d’un lampadaire ? »
    
    « Je crois que ça va aller », dit l’homme en suivant les gestes de Marie.
    
    Deux boutons, puis trois.
    
    Quatre.
    
    Quand celui d’en bas sauta, elle ouvrit son manteau et je découvris le spectacle en même temps que l’homme qui se tenait à un mètre d’elle.
    
    Ce n’était pas un collant qu’elle avait mis, mais des bas en laine. Son pull bleu ciel tombait juste sous son nombril et elle ne portait rien d’autre. La lumière était suffisante pour qu’on devine bien son pubis et le départ de ses lèvres lisses.
    
    « Mmh… fit l’homme. C’est adorable. »
    
    « Elle vous plait ? » dis-je.
    
    « Enormément. Quelle jolie petite chatte… »
    
    Mon regard allait de l’homme au pubis de ...
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